L'association "Un sourire de toi et je quitte ma mère" oeuvre dans le quartier Saint-Louis et reçoit d'épaisses subventions depuis que Delanoë est maire pour des opérations d'animation festive et l'accompagnement des cogitations des jeunes des alentours au sujet du réaménagement possible d'une place. Depuis le temps qu'elle sourit, elle vit toujours chez sa mère et de son maire, preuve que que ce sourire n'était pas très engageant pour celui ou celle à qui il était destiné. Quant à la place, elle n'est pas réaménagée...
En épluchant les comptes de cette joyeuse équipe, on découvre un budget prévisionnel pour 2012 avec 196 092 euros de subventions et ... 0 euro de cotisation !
En 2010, les cotisations s'élevaient, semble-t-il, à un niveau sensiblement plus élevé : 493, 5 euros. Et la production vendue de biens était déficitaire !
Bref, l'association a le sourire et les contribuables font la grimace.
Plus extravagants encore sont les documents diffusés aux élus et relatifs aux activités de deux autres associations : "Alliance" et "Les Ateliers Varan".
La première demande une subvention pour l'organisation de "speed dating citoyen". Qu'est-ce que cela ? Lisons cette incroyable prose :
"ça consiste (sic) à répartir le public en plusieurs pôle (sic) différents de la salle. La discussion s'engage entre le candidat et la quinzaine de personnes présentes ... Cette façon de faire permet d'abaisser la barrière psychologique que constitue la différentiation entre l'estrade des candidats et le public."
L'association réclame 2 750 euros pour organiser cet heureux "dating". Et vous savez quoi ? Elle avoue avoir pour but de "développer le lien social, la culture et les loisirs entre les balbyniens". C'est à dire les habitants de Bobigny !!!!!!
On voit à quel point l'argent des Parisiens est bien utilisé !
Quant à l'association "Ateliers Varan", elle demande 22 000 euros pour : "un projet (qui) vise à créer un atelier de cinéma documentaire dans des territoires qui sont aujourd'hui impactés par plusieurs chantiers urbains. Un groupe d'habitants issus d'horizons différents est accompagné dans l'écriture, la réalisation et la diffusion d'une série de films sur leur quartier, qui seront ensuite diffusés lors de projections et mis en ligne sur une plateforme Internet." Point final !
Si vous prenez la description de cette demande, vous pouvez aisément vous rendre compte qu'elle est applicable à n'importe quelle ville sur cette planète. Mais ce n'est pas grave : la poche des Parisiens est si profonde ...
Ma foi, tant que personne d'autre que le Delanopolis n'est choqué, pourquoi se priver ?
En épluchant les comptes de cette joyeuse équipe, on découvre un budget prévisionnel pour 2012 avec 196 092 euros de subventions et ... 0 euro de cotisation !
En 2010, les cotisations s'élevaient, semble-t-il, à un niveau sensiblement plus élevé : 493, 5 euros. Et la production vendue de biens était déficitaire !
Bref, l'association a le sourire et les contribuables font la grimace.
Plus extravagants encore sont les documents diffusés aux élus et relatifs aux activités de deux autres associations : "Alliance" et "Les Ateliers Varan".
La première demande une subvention pour l'organisation de "speed dating citoyen". Qu'est-ce que cela ? Lisons cette incroyable prose :
"ça consiste (sic) à répartir le public en plusieurs pôle (sic) différents de la salle. La discussion s'engage entre le candidat et la quinzaine de personnes présentes ... Cette façon de faire permet d'abaisser la barrière psychologique que constitue la différentiation entre l'estrade des candidats et le public."
L'association réclame 2 750 euros pour organiser cet heureux "dating". Et vous savez quoi ? Elle avoue avoir pour but de "développer le lien social, la culture et les loisirs entre les balbyniens". C'est à dire les habitants de Bobigny !!!!!!
On voit à quel point l'argent des Parisiens est bien utilisé !
Quant à l'association "Ateliers Varan", elle demande 22 000 euros pour : "un projet (qui) vise à créer un atelier de cinéma documentaire dans des territoires qui sont aujourd'hui impactés par plusieurs chantiers urbains. Un groupe d'habitants issus d'horizons différents est accompagné dans l'écriture, la réalisation et la diffusion d'une série de films sur leur quartier, qui seront ensuite diffusés lors de projections et mis en ligne sur une plateforme Internet." Point final !
Si vous prenez la description de cette demande, vous pouvez aisément vous rendre compte qu'elle est applicable à n'importe quelle ville sur cette planète. Mais ce n'est pas grave : la poche des Parisiens est si profonde ...
Ma foi, tant que personne d'autre que le Delanopolis n'est choqué, pourquoi se priver ?