Confrontés à une très forte baisse de fréquentation du fait des attaques terroristes, les grands magasins parisiens sont aujourd'hui menacés par une autre forme d'agression : la furie fiscale de socialistes parisiens.
Hidalgo ayant menti sur son budget en faisant croire que la hausse vertigineuse des droits de stationnement, la surtaxe sur les résidences secondaires ou l'augmentation des droits en tout genre, notamment ceux de mutation, suffiraient à combler le trou budgétaire béant de la ville, il lui faut trouver aujourd'hui en urgence d'autres recettes.
Un amendement adopté vendredi dernier en première lecture par l'Assemblée nationale, contre soi-disant l'avis du gouvernement, offre à la Mairie de Paris la possibilité d'assujettir à la taxe sur les surfaces commerciales, dite Tascom, les commerces de plus de 400 mètres carrés ouverts avant 1960. Ils en avaient été exonérés dans une logique de défense du centre-ville face à la concurrence des centres commerciaux de banlieue qui ne subissent pas les mêmes coûts de fonctionnement ni les mêmes inconvénients créés par la politique de stationnement, c'est un euphémisme.
L'amendement a été déposé par plusieurs parlementaires parisiens instrumentalisés, dont Pascal Cherki et Sandrine Mazetier, députés de Paris. Claude Boulle, le président exécutif de l'Union du commerce de centre-ville, parle même d'une « mesure de rétorsion » à l'encontre de ceux qui se sont vus offrir la possibilité d'ouvrir tous les dimanches dans les zones touristiques internationales.
Bref, Hidalgo espère taxer 30 millions d'euros. Cela accablera encore plus le commerce parisien tout comme la récente hausse des "frais de notaire" va contrarier la reprise du marché immobilier.
N'oublions pas : le socialisme ne s'achève que par la ruine. Paris a encore de beaux et longs jours de souffrance devant lui ...
Hidalgo ayant menti sur son budget en faisant croire que la hausse vertigineuse des droits de stationnement, la surtaxe sur les résidences secondaires ou l'augmentation des droits en tout genre, notamment ceux de mutation, suffiraient à combler le trou budgétaire béant de la ville, il lui faut trouver aujourd'hui en urgence d'autres recettes.
Un amendement adopté vendredi dernier en première lecture par l'Assemblée nationale, contre soi-disant l'avis du gouvernement, offre à la Mairie de Paris la possibilité d'assujettir à la taxe sur les surfaces commerciales, dite Tascom, les commerces de plus de 400 mètres carrés ouverts avant 1960. Ils en avaient été exonérés dans une logique de défense du centre-ville face à la concurrence des centres commerciaux de banlieue qui ne subissent pas les mêmes coûts de fonctionnement ni les mêmes inconvénients créés par la politique de stationnement, c'est un euphémisme.
L'amendement a été déposé par plusieurs parlementaires parisiens instrumentalisés, dont Pascal Cherki et Sandrine Mazetier, députés de Paris. Claude Boulle, le président exécutif de l'Union du commerce de centre-ville, parle même d'une « mesure de rétorsion » à l'encontre de ceux qui se sont vus offrir la possibilité d'ouvrir tous les dimanches dans les zones touristiques internationales.
Bref, Hidalgo espère taxer 30 millions d'euros. Cela accablera encore plus le commerce parisien tout comme la récente hausse des "frais de notaire" va contrarier la reprise du marché immobilier.
N'oublions pas : le socialisme ne s'achève que par la ruine. Paris a encore de beaux et longs jours de souffrance devant lui ...