Français, allez voir ce qui se passe en ce moment dans le 19ème arrondissement de Paris, votre triste avenir s’y écrit ..!
« Mise à l’abri des migrants », c’est désormais l’expression orwellienne pour dire évacuation et parcage des clandestins en attendant qu’ils s’échappent des endroits où on les met et que d’autres ne les rejoignent.
Car que se passe-t-il, près de la place de la bataille de Stalingrad à Paris, depuis des mois ? La matérialisation de l’échec d’une politique migratoire faite de démagogie, d’hypocrisie et de bons sentiments.
La palme de la démagogie revient sans conteste à Anne Hidalgo, maire de Paris. Tout à son objectif d’incarner la vraie gauche pour l’après-2017, quand le « hollandisme » se sera effondré, elle a voulu cocher une des cases de la bien-pensance en délivrant un discours compassionnel et sirupeux sur les clandestins.
Elle a donc annoncé à grand renfort de brouhaha médiatique l’ouverture de différentes structures d’accueil temporaire dont une à Ivry, une générosité payée par autrui en quelque sorte. Evidemment, cette posture a eu un effet d’attraction. La pompe aspirante s’est mise en marche, avec d’autant plus de force que le gouvernement essayait de vider Calais au même moment.
Sitôt vidé, l’abcès se reforme. Malgré plus de 25 000 personnes déplacées depuis juin dernier, il y en a à nouveau au moins 4 000 qui campent derechef sous des tentes sordides. Crasse, maladie et insécurité se joignent à la danse. Il ne fait pas bon sortir seule le soir quand on est une femme du côté de Stalingrad. Paris, poubelle ville du monde. Merci qui ?
Sous ce fameux nom de « mise à l’abri », la technique d’Hidalgo semblait pourtant rôdée : les clandestins affluaient puis ils étaient rapidement exfiltrés en banlieue ou en province par les services de l’Etat. La préfecture de Paris est depuis des mois le doigt sur la couture du pantalon, Cazeneuve ayant peur de déplaire à Hidalgo qui joue de la faiblesse gouvernementale à un moment où l’Etat socialiste vacille.
C’était donc tout bénéfice pour Hidalgo : elle jouait au Saint Bernard puis refilait la patate chaude eux communes dépotoirs.
Las ! Ce bel édifice s’est vite lézardé. Son camp d’accueil de la porte de la Chapelle, avec 600 places au maximum, est tellement dérisoire qu’elle n’ose même pas l’ouvrir. Les riverains, mis à part quelques benêts-bobos confits en une religiosité mal digérée, sont excédés. Les maires de banlieue et la Région sont sur le qui-vive.
Car les faits sont têtus : il ne s’agit pas de réfugiés mais d’une migration de peuplement attirée par la volonté de travailler ou celle de bénéficier d’aides sociales, dans une part respective impossible à évaluer. C’est donc un puits sans fond dans lequel Hidalgo et Cazeneuve jettent leur bonne conscience frelatée.
Là où l’affaire se corse, c’est que l’évacuation de cette masse misérable devient de plus en plus difficile. Hollande et Cazeneuve l’avaient annoncée comme imminente. Mais 4 000 gaillards armés de bâtons, voire d’autres instruments peu sympathiques, et décidés à ne pas se laisser embarquer, c’est beaucoup pour une police exsangue.
Le risque d’émeutes qui gagneraient les rues alentours n’est plus à écarter. Il se réalisera à coup sûr un jour ou l’autre. Les électeurs d’Hidalgo – nous sommes dans les circonscriptions les plus à gauche de France – pourront commencer à se mordre les doigts. Bien fait pour eux. D’autant qu’il faut aussi compter sur les « No borders » et tous les autres idiots utiles de la misère migratoire pour jeter de l’huile sur le feu.
L’Etat et la ville parviendraient-ils à réduire le kyste dans les jours qui viennent qu’il se reformera très vite avec toujours plus de force. Calaisis, capitale Paris…
Comme les Britanniques, dans leur grande sagesse, ont choisi le Brexit et empêcheront toute arrivée significative de clandestins, il faut donc s’attendre à ce que le Nord parisien serve de cul-de-sac, de butoir à ce flot barbare. Seul un refoulement impitoyable aux frontières règlerait la question. Quand les Français s’y décideront ils ?
En attendant, les métastases que Messieurs Hollande et Cazeneuve tentent de répandre en province ne seront que surgeons de Calais et Paris. Après tout, il n’y a pas de raisons pour que la province soit mieux traitée.
Oui, décidément, Français, encore un effort pour être envahis !
Lire aussi ICI.
« Mise à l’abri des migrants », c’est désormais l’expression orwellienne pour dire évacuation et parcage des clandestins en attendant qu’ils s’échappent des endroits où on les met et que d’autres ne les rejoignent.
Car que se passe-t-il, près de la place de la bataille de Stalingrad à Paris, depuis des mois ? La matérialisation de l’échec d’une politique migratoire faite de démagogie, d’hypocrisie et de bons sentiments.
La palme de la démagogie revient sans conteste à Anne Hidalgo, maire de Paris. Tout à son objectif d’incarner la vraie gauche pour l’après-2017, quand le « hollandisme » se sera effondré, elle a voulu cocher une des cases de la bien-pensance en délivrant un discours compassionnel et sirupeux sur les clandestins.
Elle a donc annoncé à grand renfort de brouhaha médiatique l’ouverture de différentes structures d’accueil temporaire dont une à Ivry, une générosité payée par autrui en quelque sorte. Evidemment, cette posture a eu un effet d’attraction. La pompe aspirante s’est mise en marche, avec d’autant plus de force que le gouvernement essayait de vider Calais au même moment.
Sitôt vidé, l’abcès se reforme. Malgré plus de 25 000 personnes déplacées depuis juin dernier, il y en a à nouveau au moins 4 000 qui campent derechef sous des tentes sordides. Crasse, maladie et insécurité se joignent à la danse. Il ne fait pas bon sortir seule le soir quand on est une femme du côté de Stalingrad. Paris, poubelle ville du monde. Merci qui ?
Sous ce fameux nom de « mise à l’abri », la technique d’Hidalgo semblait pourtant rôdée : les clandestins affluaient puis ils étaient rapidement exfiltrés en banlieue ou en province par les services de l’Etat. La préfecture de Paris est depuis des mois le doigt sur la couture du pantalon, Cazeneuve ayant peur de déplaire à Hidalgo qui joue de la faiblesse gouvernementale à un moment où l’Etat socialiste vacille.
C’était donc tout bénéfice pour Hidalgo : elle jouait au Saint Bernard puis refilait la patate chaude eux communes dépotoirs.
Las ! Ce bel édifice s’est vite lézardé. Son camp d’accueil de la porte de la Chapelle, avec 600 places au maximum, est tellement dérisoire qu’elle n’ose même pas l’ouvrir. Les riverains, mis à part quelques benêts-bobos confits en une religiosité mal digérée, sont excédés. Les maires de banlieue et la Région sont sur le qui-vive.
Car les faits sont têtus : il ne s’agit pas de réfugiés mais d’une migration de peuplement attirée par la volonté de travailler ou celle de bénéficier d’aides sociales, dans une part respective impossible à évaluer. C’est donc un puits sans fond dans lequel Hidalgo et Cazeneuve jettent leur bonne conscience frelatée.
Là où l’affaire se corse, c’est que l’évacuation de cette masse misérable devient de plus en plus difficile. Hollande et Cazeneuve l’avaient annoncée comme imminente. Mais 4 000 gaillards armés de bâtons, voire d’autres instruments peu sympathiques, et décidés à ne pas se laisser embarquer, c’est beaucoup pour une police exsangue.
Le risque d’émeutes qui gagneraient les rues alentours n’est plus à écarter. Il se réalisera à coup sûr un jour ou l’autre. Les électeurs d’Hidalgo – nous sommes dans les circonscriptions les plus à gauche de France – pourront commencer à se mordre les doigts. Bien fait pour eux. D’autant qu’il faut aussi compter sur les « No borders » et tous les autres idiots utiles de la misère migratoire pour jeter de l’huile sur le feu.
L’Etat et la ville parviendraient-ils à réduire le kyste dans les jours qui viennent qu’il se reformera très vite avec toujours plus de force. Calaisis, capitale Paris…
Comme les Britanniques, dans leur grande sagesse, ont choisi le Brexit et empêcheront toute arrivée significative de clandestins, il faut donc s’attendre à ce que le Nord parisien serve de cul-de-sac, de butoir à ce flot barbare. Seul un refoulement impitoyable aux frontières règlerait la question. Quand les Français s’y décideront ils ?
En attendant, les métastases que Messieurs Hollande et Cazeneuve tentent de répandre en province ne seront que surgeons de Calais et Paris. Après tout, il n’y a pas de raisons pour que la province soit mieux traitée.
Oui, décidément, Français, encore un effort pour être envahis !
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