Nos lecteurs auront le tournis s'ils essaient de se remémorer l'accumulation, digne d'une oeuvre d'Arman, des crédits municipaux dévorés par ces Métallos insatiables.
Cette fois, il s'agit de faire face à la "détérioration accélérée du matériel scénique" et à la question du "lavage et du repassage des costumes de scène", qui, bien évidemment, ne sauraient être à la charge des merveilleux artistes politiquement engagés qui s'y produisent. Coût de ces imprévisibles dépenses : 272 000 euros hors taxes sur deux ans ! C'est du propre, dirait-on dans mon pressing.
A suivre, puisque les Parisiens seront toujours là pour payer.
Cette fois, il s'agit de faire face à la "détérioration accélérée du matériel scénique" et à la question du "lavage et du repassage des costumes de scène", qui, bien évidemment, ne sauraient être à la charge des merveilleux artistes politiquement engagés qui s'y produisent. Coût de ces imprévisibles dépenses : 272 000 euros hors taxes sur deux ans ! C'est du propre, dirait-on dans mon pressing.
A suivre, puisque les Parisiens seront toujours là pour payer.