Les politiques tendant à promouvoir les transports en commun sont toutes fondées sur l'idée que leur bilan environnemental est meilleur. Mais ce constat ne sera plus vrai quand les véhicules individuels seront à propulsion électrique. Ill suffisait de se rendre au salon de l'auto cette année, particulièrement sur le stand de Renault, pour s'en convaincre. D'ici 20 ans maximum, la voiture ou la moto à essence seront aux véhicules électriques ce que les machines à écrire sont aux micro-ordinateurs.
Ce virage devrait être accompagné par les collectivités locales bien plus massivement et intelligemment que par des simples gadgets du genre Autolib' qui relèvent davantage de l'usine à gaz que de la politique industrielle.
Le dernier argument en faveur du transport en commun : sa moindre occupation de l'espace public, est faux. Imaginez que toutes les personnes en voiture ou à moto prennent des bus ou des tramways et vous réaliserez que les rues en seraient envahies.
En attendant, si vous CLIQUEZ ICI, vous découvrirez cette vidéo fracassante !
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