La journaliste de 20 minutes n'a pu s'empêcher de sursauter en entendant pareil déni de réalité : voir en cliquant ICI
Car les impôts, nos lecteurs le savent bien et tous les contribuables parisiens avec eux, ont été considérablement alourdis depuis que Delanoë est maire : cliquez LA.
D'abord, il ne faut pas oublier les droits de mutation dont les taux n'ont pas varié mais qui, dopés par la hausse des prix de l'immobilier, ont rapporté un pactole de plus de huit milliards d'euros à la ville. Cette manne a permis de financer les dépenses inconsidérées de la mairie et, bien employée, aurait pu éviter à celle-ci d'augmenter quelque autre impôt que ce soit.
Mais le gaspillage et la frénésie de dépenses (frais de fonctionnement et travaux sur la voirie en particulier) ont fait que cette divine surprise n'a pas été suffisante. Il a fallu augmenter les taxes directes de près de 40 %, en taux et en bases, ainsi que presque tripler le montant de la dette municipale.
Une vraie catastrophe que seul l'état florissant des comptes de la ville en 2001 a pu masquer.
Si c'est cela la sagesse, les Parisiens peuvent avoir des sueurs froides en imaginant ce que serait la prodigalité !
Car les impôts, nos lecteurs le savent bien et tous les contribuables parisiens avec eux, ont été considérablement alourdis depuis que Delanoë est maire : cliquez LA.
D'abord, il ne faut pas oublier les droits de mutation dont les taux n'ont pas varié mais qui, dopés par la hausse des prix de l'immobilier, ont rapporté un pactole de plus de huit milliards d'euros à la ville. Cette manne a permis de financer les dépenses inconsidérées de la mairie et, bien employée, aurait pu éviter à celle-ci d'augmenter quelque autre impôt que ce soit.
Mais le gaspillage et la frénésie de dépenses (frais de fonctionnement et travaux sur la voirie en particulier) ont fait que cette divine surprise n'a pas été suffisante. Il a fallu augmenter les taxes directes de près de 40 %, en taux et en bases, ainsi que presque tripler le montant de la dette municipale.
Une vraie catastrophe que seul l'état florissant des comptes de la ville en 2001 a pu masquer.
Si c'est cela la sagesse, les Parisiens peuvent avoir des sueurs froides en imaginant ce que serait la prodigalité !