Eve plenel, fille de son papa, vient en effet d'être nommée coordinatrice de "Paris sans sida", mission qu'elles exercera à mi-temps depuis .... Berlin où elle vit !!!! Bonjour les frais de déplacement et la capacité à faire face aux urgences ...
Dans un article publié par Libération, on apprend qu'elle n'en est pas d'ailleurs à son premier emploi municipal car elle a émargé il y a quelques années au "104".
Savourons du reste l'humour involontaire du journaliste de Libé : "Un temps elle travaille au 104, ce lieu culturel incertain dans l'Est parisien".
Quand on pense que le coût de cette incertitude dépasse allègrement les 250 millions d'euros depuis sa conception, on mesure à quel point il faudrait d'urgence que la ville y fasse régner plus de précisions.
Mais la très chère Eve n'est pas dénuée de toute compétence dans ce domaine : elle a déjà aussi oeuvré pour le Kiosque infos sida dont les revenus sont quasi entièrement dérivés de subventions publiques, notamment de la ville de Paris, et dont la majeure partie des dépenses concernent évidemment des frais de personnel. Une vraie professionnelle de cette zone grise ou le para-public, le socialisme et le lobbying vivent grassement de leurs relations incestueuses.
De ce rejeton de la bourgeoisie gauchisante on apprend également via Libé qu'elle fréquentait grâce à son père la famille Bouchet-Petersen, pilier du ségolisme dont un des membres bloggue pour Mediapart et Libération.
Le népotisme, une vraie valeur de la gauche de la gauche !
Dans un article publié par Libération, on apprend qu'elle n'en est pas d'ailleurs à son premier emploi municipal car elle a émargé il y a quelques années au "104".
Savourons du reste l'humour involontaire du journaliste de Libé : "Un temps elle travaille au 104, ce lieu culturel incertain dans l'Est parisien".
Quand on pense que le coût de cette incertitude dépasse allègrement les 250 millions d'euros depuis sa conception, on mesure à quel point il faudrait d'urgence que la ville y fasse régner plus de précisions.
Mais la très chère Eve n'est pas dénuée de toute compétence dans ce domaine : elle a déjà aussi oeuvré pour le Kiosque infos sida dont les revenus sont quasi entièrement dérivés de subventions publiques, notamment de la ville de Paris, et dont la majeure partie des dépenses concernent évidemment des frais de personnel. Une vraie professionnelle de cette zone grise ou le para-public, le socialisme et le lobbying vivent grassement de leurs relations incestueuses.
De ce rejeton de la bourgeoisie gauchisante on apprend également via Libé qu'elle fréquentait grâce à son père la famille Bouchet-Petersen, pilier du ségolisme dont un des membres bloggue pour Mediapart et Libération.
Le népotisme, une vraie valeur de la gauche de la gauche !