L’administration parisienne fait du zèle : Dans un courrier envoyé à l’ensemble des responsables des bibliothèques parisiennes, Marie-Noëlle Villedieu, chef du bureau des bibliothèques, déploie déjà sa feuille de route. Il faut « proposer des horaires plus adaptés au mode de vie des Parisiens : développement des ouvertures dominicales, révisions et harmonisation des horaires » écrit la chef de bureau en brûlant la politesse aux élus (et notamment Bruno Julliard) qui n’ont pas encore eu l’occasion d’exposer leur programme. Un vraie faute de goût qui frôle le crime de lèse-majesté.
D’autant que ces ouvertures pourraient s’avérer d’un coût exorbitant. Et on peut, sans craindre de se tromper, déjà annoncer que les syndicats vont réclamer une prime dominicale de… 180 euros par dimanche travaillé !
C’est déjà le cas pour les syndicats CGT, FO, Supap et Solidaires de la direction de la jeunesse et des sports qui se battent avec les personnels en grève pour obtenir cette prime. Cette revendication est également portée par la CFDT et l’UNSA pour toute la Ville de Paris.
Bientôt les personnels du nettoiement, des musées ou des parcs et jardins devraient eux aussi entrer dans la danse. L’ouverture des bibliothèques le dimanche pourrait être l’étincelle qui manque à ce baril de poudre social.
Bref, autant de dépenses supplémentaires qui augurent mal du respect des promesses de Valls de réduire le train de vie des collectivités locales et de celui des promesses d'Hidalgo de ne pas augmenter les impôts des Parisiens ...
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Bientôt les personnels du nettoiement, des musées ou des parcs et jardins devraient eux aussi entrer dans la danse. L’ouverture des bibliothèques le dimanche pourrait être l’étincelle qui manque à ce baril de poudre social.
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