Anne Hidalgo, a «simplement confondu bonne figure et flippante figure», se gaussait le compte Twitter d'Hidalgo.
Message qu'elle a retiré après les protestations des pro-Pécresse !
"Mon community manager a publié par erreur sur mon compte un tweet parfaitement déplacé qu'il voulait publier sur son compte personnel. Je déplore et je regrette cette erreur, qui ne correspond absolument pas à l'idée que je me fais du débat public."
Ben tiens ... Soit son employé est nul et mal surveillé, soit il n'a fait que relayer une attaque dont Hidalgo pensait qu'elle mettrait les rieurs de son côté mais qui a fait flop.
En plus de cette justification, Hidalgo a dû adresser des excuses privées à Pécresse qui lui a aussitôt mis le nez dans ses saletés. «Je prends acte du message d'excuses adressé par Anne Hidalgo pour des propos qu'elle juge "débiles et scandaleux” tweetés depuis son compte».
Débile et scandaleuse, c'est une bonne définition.
C'est bien la dixième fois en réalité, entre injures ridicules faites à Trump ("I am athée my god"), référence historiques approximatives (le FN collaborateur sous l'occupation), ou calomnies condamnées par les tribunaux (affaire de l'architecte Cabestan), qu'Hidalgo nous gratifie de son inculture, de son amateurisme et de sa hargne à côté de la plaque ...
Message qu'elle a retiré après les protestations des pro-Pécresse !
"Mon community manager a publié par erreur sur mon compte un tweet parfaitement déplacé qu'il voulait publier sur son compte personnel. Je déplore et je regrette cette erreur, qui ne correspond absolument pas à l'idée que je me fais du débat public."
Ben tiens ... Soit son employé est nul et mal surveillé, soit il n'a fait que relayer une attaque dont Hidalgo pensait qu'elle mettrait les rieurs de son côté mais qui a fait flop.
En plus de cette justification, Hidalgo a dû adresser des excuses privées à Pécresse qui lui a aussitôt mis le nez dans ses saletés. «Je prends acte du message d'excuses adressé par Anne Hidalgo pour des propos qu'elle juge "débiles et scandaleux” tweetés depuis son compte».
Débile et scandaleuse, c'est une bonne définition.
C'est bien la dixième fois en réalité, entre injures ridicules faites à Trump ("I am athée my god"), référence historiques approximatives (le FN collaborateur sous l'occupation), ou calomnies condamnées par les tribunaux (affaire de l'architecte Cabestan), qu'Hidalgo nous gratifie de son inculture, de son amateurisme et de sa hargne à côté de la plaque ...