Mardi 6 octobre au matin, un record historique est tombé : 486 km de bouchons en Ile-de-France ! Le précédent record datait d'il y a un an : 450 kilomètres.
Et encore, cette année aucun accident en série n'explique cet engorgement homérique.
Les causes sont pourtant différentes. L'an passé, les embouteillages avaient été le résultat d'un accident sur l'A6 qui s'ajoutait à la tenue du Mondial de l'Automobile. Hier, ce sont les conditions climatiques difficiles qui ont entraîné la congestion des grands axes franciliens.
Daniel Quero, président de « 40 millions d'automobilistes en tire une conclusion logique : "Aujourd'hui, on peut douter des études communiquées par la mairie de Paris annonçant qu'en abaissant la limitation de vitesse autorisée et en fermant la voie sur berges, il n'y aurait aucun impact sur la fluidité du trafic".
L'entreprise systématique, au prix de milliards d'euros, conduite depuis 2001 n'aura donc conduit qu'à davantage de pollution, de nuisances et de frustration.
Et encore, cette année aucun accident en série n'explique cet engorgement homérique.
Les causes sont pourtant différentes. L'an passé, les embouteillages avaient été le résultat d'un accident sur l'A6 qui s'ajoutait à la tenue du Mondial de l'Automobile. Hier, ce sont les conditions climatiques difficiles qui ont entraîné la congestion des grands axes franciliens.
Daniel Quero, président de « 40 millions d'automobilistes en tire une conclusion logique : "Aujourd'hui, on peut douter des études communiquées par la mairie de Paris annonçant qu'en abaissant la limitation de vitesse autorisée et en fermant la voie sur berges, il n'y aurait aucun impact sur la fluidité du trafic".
L'entreprise systématique, au prix de milliards d'euros, conduite depuis 2001 n'aura donc conduit qu'à davantage de pollution, de nuisances et de frustration.