Bientôt recruté par la "Task force" ?
On nage en plein mauvais film complotiste mais hélas on risque de se réveiller dans la France de 2017. La "Task force" improvisée par Macron lors d'un débat s'est muée en un étrange "Centre national du contre-terrorisme" dont les compétences seront de chapeauter l'ensemble des services spéciaux et d'en référer à Jupiter. Il sera installé sur l'Olympe, sans qu'on sache encore où, avec quels agents ni quelle sera sa mission précise ni sa valeur ajoutée.
Pendant ce temps, le gouvernement prévoit de pérenniser l'état d'urgence et de l'inscrire dans le marbre législatif. On pourra donc vous embastiller plusieurs jours et vous faire écouter sur ordre macronesque sans qu'un juge s'en mêle.
Brrr...
Ces atteintes à nos libertés sont totalement inefficaces face à un terrorisme qui se nourrit des compromissions du pouvoir avec le fascisme coranique. Pendant ce temps, pas un jour ne se passe en effet sans que Castaner, porte-parole du gouvernement, ne tienne des propos de soumissions sur cette question.
La solution tient au renvoi, après déchéance de nationalité s'il le faut, au Maroc, en Algérie et en Tunisie de tous ceux qui fricotent avec cette idéologie dont les signes extérieurs doivent être par ailleurs interdits. Si les gouvernements de ces pays ne veulent pas les reprendre, il faut suspendre toutes nos aides et l'octroi de tous nos visas pour leurs ressortissants. Cela devrait suffire.
Quant aux enragés, plutôt que d'installer des grandes oreilles à l'Elysée, il faut payer grassement ceux qui les dénoncent et permettent leur arrestation. Ils se vendront entre "frères".
En attendant, restons quand même un peu optimistes : depuis une semaine "En marche" recule sensiblement dans les intentions de vote. Il suffirait qu'au deuxième tour les autres candidats restant en lice et ceux éliminés adoptent une ligne "Tout sauf Macron" pour que cet olibrius soit claquemuré à l'Elysée pendant quelque temps et mis hors d'état de trop nuire.
Croisons les doigts et votons bien, c'est à dire le plus anti-Macron possible, dimanche prochain.
Pendant ce temps, le gouvernement prévoit de pérenniser l'état d'urgence et de l'inscrire dans le marbre législatif. On pourra donc vous embastiller plusieurs jours et vous faire écouter sur ordre macronesque sans qu'un juge s'en mêle.
Brrr...
Ces atteintes à nos libertés sont totalement inefficaces face à un terrorisme qui se nourrit des compromissions du pouvoir avec le fascisme coranique. Pendant ce temps, pas un jour ne se passe en effet sans que Castaner, porte-parole du gouvernement, ne tienne des propos de soumissions sur cette question.
La solution tient au renvoi, après déchéance de nationalité s'il le faut, au Maroc, en Algérie et en Tunisie de tous ceux qui fricotent avec cette idéologie dont les signes extérieurs doivent être par ailleurs interdits. Si les gouvernements de ces pays ne veulent pas les reprendre, il faut suspendre toutes nos aides et l'octroi de tous nos visas pour leurs ressortissants. Cela devrait suffire.
Quant aux enragés, plutôt que d'installer des grandes oreilles à l'Elysée, il faut payer grassement ceux qui les dénoncent et permettent leur arrestation. Ils se vendront entre "frères".
En attendant, restons quand même un peu optimistes : depuis une semaine "En marche" recule sensiblement dans les intentions de vote. Il suffirait qu'au deuxième tour les autres candidats restant en lice et ceux éliminés adoptent une ligne "Tout sauf Macron" pour que cet olibrius soit claquemuré à l'Elysée pendant quelque temps et mis hors d'état de trop nuire.
Croisons les doigts et votons bien, c'est à dire le plus anti-Macron possible, dimanche prochain.