Le mac, sur un scénario de deux Thomas (Gilou et Langmann), n'a rien pour nous surprendre. Le petit malfrat éponyme navigue en eaux troubles sur le port de Marseille, mène une double-vie d'indic, marche en canard à la manière du Prosper de Vincent Scotto et Maurice Chevalier et il a un frère jumeau, médiocre employé de banque. Un échange standard sera pratiqué par la police pour coincer un parrain local, incarné par Gilbert Melki, rôdé aux rôles de truands ténébreux.
Bref, rien d'original mais les gags fonctionnent bien et l'on rit d'autant plus facilement que José Garcia confirme son réel talent de comique multi-fonctions, bouffon doté du minimum d'épaisseur psychologique requis pour ne pas être simplement ridicule.
Le mac : à voir en attendant la relevée des compteurs.
Bref, rien d'original mais les gags fonctionnent bien et l'on rit d'autant plus facilement que José Garcia confirme son réel talent de comique multi-fonctions, bouffon doté du minimum d'épaisseur psychologique requis pour ne pas être simplement ridicule.
Le mac : à voir en attendant la relevée des compteurs.