Confortablement installée au 123 rue de Tocqueville, dans le "beau" 17ème, l'association Macaq a compris comment se loger gratuitement ou presque à Paris. D'abord, vous squattez un immeuble. Ensuite, ledit immeuble est préempté par la ville qui vous le remet aussi sec à disposition moyennant une indemnité d'occupation largement couverte par les subventions en tous genres que vous recevez. C'est Delanoë lui-même qui, dans un compte-rendu de mandat de décembre 2006, annonça la bonne nouvelle de la préemption à ses jeunes émules. Et, s'agissant des aides diverses et variées reçues par Macaq, Geoffroy Boulard, un élu du 17ème arrondissement, a fait le calcul : "dans le budget prévisionnel 2008 de cette association, il apparaît que les MACAQ bénéficient de 278 211€ de subventions, soit un total de 2140 € par adhérent ! Un record à Paris. Faut-il rappeler la subvention théorique autour de laquelle s’articule généralement le montant de la subvention totale de la Mairie de Paris, soit environ 13 € par licencié ?"
Le père fondateur de ladite association, un dénommé Julien boucher, plutôt enjoué et spontané au demeurant, est par ailleurs conseiller socialiste du 17ème depuis les dernières élections municipales. Bref, une affaire de famille. A ses heures perdues, ce bon militant enregistre des vidéos où il parodie "Maréchal nous voilà" en "Sarkozy nous voilà" (cliquez ici ). Les Macaq font tout pour occuper le terrain : brocante, vide-grenier, friperie, expos, (le plus souvent agrémentés de l'adjectif "solidaire" cela va de soi) et servir de point d'ancrage à la tentative de conquête de l'arrondissement par le PS.
Il semble, qu'emportée par son élan et sa volonté d'essaimer dans Paris, cette machine de guerre ait un peu forcé la dose. En témoigne, le courrier ci-après, reçu d'un lecteur.
" Bonjour,
Le succès grandissant du Carnaval de Paris libre, bénévole, gratuit, apolitique et populaire qu'organise depuis 1997 l'association DROIT A LA CULTURE se confirme un peu plus chaque année. Cependant, le succès attire les convoitises. Ces temps derniers, l'association MACAQ démarche un peu partout en se prétendant abusivement être "l'organisateur du Carnaval de Paris" et cherche à récupérer et détourner la fête pour obtenir publicité, confiance et subventions.
Ces agissements indélicats nuisent à la bonne santé du Carnaval de Paris et à la joie parisienne.
L'Association DROIT A LA CULTURE, fondée par Alain RIOU et présidée aujourd'hui par Basile PACHKOFF, est le seul organisateur officiel du Carnaval de Paris. Les documents officiels, preuve incontestable, sont à la disposition de qui le souhaite, pour 2008 et 2009 notamment.
Depuis le premier cortège sorti en 1998, les participations d'associations ont été variées et toujours plus nombreuses. Le Carnaval de Paris a toujours été un moment festif et tout s'est très bien passé avec les différentes associations, à une exception près. Au même titre que quantité d'autres associations, l'association MACAQ participe au Carnaval de Paris. Elle le fait depuis 2003. Ces derniers temps, et notamment en 2008-2009, l'association MACAQ s'est autoproclamée “organisateur du Carnaval de Paris”, à grand renfort de publicité auprès des différents médias, autorités et participants. Cette auto-proclamation est une usurpation, et tend clairement à s'attribuer l'œuvre d'autrui.
Alors que le seul but du Carnaval est de se distraire en respectant organisateurs et participants, l'appétit de pouvoir de MACAQ et ses méthodes agressives montrent que cette association cherche autre chose que la fête en se présentant comme son organisateur.
Rappel des faits :
L'association MACAQ s'autoproclame “organisateur officiel” :
- en présentant son site www.carnavaldeparis.org comme “le site officiel du Carnaval de Paris”. Ce site plagiera durant des années les sites www.carnaval-pantruche.org et www.carnaval-paris.org
- en diffusant quantité d'informations erronées et fantaisistes telles que : “50 000 participants au Carnaval de Paris 2009”.
- en annonçant pour le Carnaval, depuis 2008, un thème de son choix différent du thème officiel.
(les affiches officielles du Carnaval de Paris depuis 1994 sont déposées à la Bibliothèque Nationale de France et visibles sur la page “Les affiches” du site de l'association DROIT A LA CULTURE : http://carnaval-paris.org)
- en communiquant partout en 2009 à la presse et sur son site Internet un itinéraire traditionnel amputé (le départ traditionnel étant le bas de la rue Le Vau et non la place Gambetta)
- en sortant en 2009 une soi-disant “Vidéo officielle du Carnaval de Paris 2009 organisé par MACAQ”...
L'association MACAQ ne respecte pas le Carnaval :
- en trompant les participants au Carnaval de Paris, dont une grande partie a délaissé la rue Le Vau le 22 février 2009 et rejoint la place Gambetta croyant que c'était le point de départ du cortège. Basile PACHKOFF et les organisateurs du Carnaval de Paris ont alors gagné la place Gambetta pour prendre la tête du Carnaval. Quand ils traversaient la place, ils ont été hués par un groupe de membres ou sympathisants de l'association MACAQ. Ce comportement est inadmissible et absolument contraire à l'esprit du Carnaval. MACAQ a clairement cherché ce jour-là à exclure du Carnaval de Paris ses propres organisateurs ! (incroyable mais vrai).
- en cherchant systématiquement à imposer aux autres participants un rythme de progression. Or, celui-ci est fixé par la préfecture de Police. L'association MACAQ, comme tous les autres participants, doit donc respecter le rythme défini par la voiture de police ouvrant la voie au cortège.
- en organisant un “service d'ordre” dont l'action est contraire à l'esprit même du Carnaval, puisqu’il s'applique tout le long du parcours à empêcher le public de rejoindre le cortège du Carnaval.
Or, une base essentielle du Carnaval, qui distingue cette fête populaire traditionnelle d'un spectacle de rue avec public et spectateurs est que tous peuvent au choix et à tous moments participer ou assister et se joindre au cortège.
MACAQ crée ce problème au Carnaval de Paris depuis 2005 et il s'est accentué en 2008. Si cette conception différenciant le public et le Carnaval triomphait, ce serait la fin du Carnaval.
Il n'aurait plus de “Carnaval” que le nom. Ce serait juste un spectacle de rue parmi d'autres. Cette initiative pour vider le Carnaval de sa substance au nom d'une imaginaire “sécurité” par ailleurs très bien assurée par la police, est l'œuvre d'une seule association et n'est pas validée par l'organisateur officiel du Carnaval. On peut d'ailleurs regretter que tant d'énergie soit mise dans une mascarade de service d'ordre, ne faisant que déranger participants et spectateurs. Pour information, plusieurs associations et participants se sont déjà plaints du comportement du “service de sécurité” de MACAQ.
Mise en garde :
Si l'association MACAQ souhaite continuer à participer au Carnaval de Paris, elle doit commencer par en respecter le principe, les participants et spectateurs et la seule association organisatrice : DROIT A LA CULTURE. MACAQ doit également cesser de prétendre à des subventions en tant qu'”organisateur du Carnaval de Paris”. Il est inadmissible que MACAQ détourne ainsi l'argent public, pendant que DROIT A LA CULTURE assume par elle-même les frais divers, par exemple l'assurance de la fête.
Tel est l'intérêt de la fête et des Parisiens que nous défendrons comme nous l'avons toujours fait.
Durant des années l'association MACAQ a ignoré nos doléances. Il est bien triste d'avoir aujourd'hui à rendre public une telle mise au point et les organisateurs du Carnaval de Paris ont toujours voulu éviter cela. Mais la gravité des incidents survenus en 2009 nous y oblige.
Si l'association MACAQ n'arrête pas sa tentative de se faire passer pour organisatrice officielle du Carnaval de Paris, si elle continue à chercher à usurper ce titre, si elle continue à chercher à détourner et dénaturer cette fête populaire pour la détruire et en faire autre chose, l'association Droit à la Culture usera de tous moyens légaux, y compris judiciaires, pour faire cesser ce trouble.
Afin que tous les festifs parisiens puissent Carnavaler dans la Joie et le Respect en 2010 et par la suite. Le Carnaval de Paris 2010 défilera le dimanche 14 février 2010 jour de la Saint Valentin, d'où un thème 2010 tout trouvé : “l'Amour” !
Paris, le 30 avril 2009.
Basile PACHKOFF, artiste peintre, poète, carnavaleux.
Président de l'association DROIT A LA CULTURE "
Toute cette histoire donne le pénible sentiment qu'une sorte d'activisme de rue et d'occupation de terrain se met doucement en place sous prétexte d'animation et que le visage souriant de la "fêêêêêête" chère à Delanoë pourrait facilement prendre un aspect grimaçant. Bref, il faut ouvrir l'oeil.
Le père fondateur de ladite association, un dénommé Julien boucher, plutôt enjoué et spontané au demeurant, est par ailleurs conseiller socialiste du 17ème depuis les dernières élections municipales. Bref, une affaire de famille. A ses heures perdues, ce bon militant enregistre des vidéos où il parodie "Maréchal nous voilà" en "Sarkozy nous voilà" (cliquez ici ). Les Macaq font tout pour occuper le terrain : brocante, vide-grenier, friperie, expos, (le plus souvent agrémentés de l'adjectif "solidaire" cela va de soi) et servir de point d'ancrage à la tentative de conquête de l'arrondissement par le PS.
Il semble, qu'emportée par son élan et sa volonté d'essaimer dans Paris, cette machine de guerre ait un peu forcé la dose. En témoigne, le courrier ci-après, reçu d'un lecteur.
" Bonjour,
Le succès grandissant du Carnaval de Paris libre, bénévole, gratuit, apolitique et populaire qu'organise depuis 1997 l'association DROIT A LA CULTURE se confirme un peu plus chaque année. Cependant, le succès attire les convoitises. Ces temps derniers, l'association MACAQ démarche un peu partout en se prétendant abusivement être "l'organisateur du Carnaval de Paris" et cherche à récupérer et détourner la fête pour obtenir publicité, confiance et subventions.
Ces agissements indélicats nuisent à la bonne santé du Carnaval de Paris et à la joie parisienne.
L'Association DROIT A LA CULTURE, fondée par Alain RIOU et présidée aujourd'hui par Basile PACHKOFF, est le seul organisateur officiel du Carnaval de Paris. Les documents officiels, preuve incontestable, sont à la disposition de qui le souhaite, pour 2008 et 2009 notamment.
Depuis le premier cortège sorti en 1998, les participations d'associations ont été variées et toujours plus nombreuses. Le Carnaval de Paris a toujours été un moment festif et tout s'est très bien passé avec les différentes associations, à une exception près. Au même titre que quantité d'autres associations, l'association MACAQ participe au Carnaval de Paris. Elle le fait depuis 2003. Ces derniers temps, et notamment en 2008-2009, l'association MACAQ s'est autoproclamée “organisateur du Carnaval de Paris”, à grand renfort de publicité auprès des différents médias, autorités et participants. Cette auto-proclamation est une usurpation, et tend clairement à s'attribuer l'œuvre d'autrui.
Alors que le seul but du Carnaval est de se distraire en respectant organisateurs et participants, l'appétit de pouvoir de MACAQ et ses méthodes agressives montrent que cette association cherche autre chose que la fête en se présentant comme son organisateur.
Rappel des faits :
L'association MACAQ s'autoproclame “organisateur officiel” :
- en présentant son site www.carnavaldeparis.org comme “le site officiel du Carnaval de Paris”. Ce site plagiera durant des années les sites www.carnaval-pantruche.org et www.carnaval-paris.org
- en diffusant quantité d'informations erronées et fantaisistes telles que : “50 000 participants au Carnaval de Paris 2009”.
- en annonçant pour le Carnaval, depuis 2008, un thème de son choix différent du thème officiel.
(les affiches officielles du Carnaval de Paris depuis 1994 sont déposées à la Bibliothèque Nationale de France et visibles sur la page “Les affiches” du site de l'association DROIT A LA CULTURE : http://carnaval-paris.org)
- en communiquant partout en 2009 à la presse et sur son site Internet un itinéraire traditionnel amputé (le départ traditionnel étant le bas de la rue Le Vau et non la place Gambetta)
- en sortant en 2009 une soi-disant “Vidéo officielle du Carnaval de Paris 2009 organisé par MACAQ”...
L'association MACAQ ne respecte pas le Carnaval :
- en trompant les participants au Carnaval de Paris, dont une grande partie a délaissé la rue Le Vau le 22 février 2009 et rejoint la place Gambetta croyant que c'était le point de départ du cortège. Basile PACHKOFF et les organisateurs du Carnaval de Paris ont alors gagné la place Gambetta pour prendre la tête du Carnaval. Quand ils traversaient la place, ils ont été hués par un groupe de membres ou sympathisants de l'association MACAQ. Ce comportement est inadmissible et absolument contraire à l'esprit du Carnaval. MACAQ a clairement cherché ce jour-là à exclure du Carnaval de Paris ses propres organisateurs ! (incroyable mais vrai).
- en cherchant systématiquement à imposer aux autres participants un rythme de progression. Or, celui-ci est fixé par la préfecture de Police. L'association MACAQ, comme tous les autres participants, doit donc respecter le rythme défini par la voiture de police ouvrant la voie au cortège.
- en organisant un “service d'ordre” dont l'action est contraire à l'esprit même du Carnaval, puisqu’il s'applique tout le long du parcours à empêcher le public de rejoindre le cortège du Carnaval.
Or, une base essentielle du Carnaval, qui distingue cette fête populaire traditionnelle d'un spectacle de rue avec public et spectateurs est que tous peuvent au choix et à tous moments participer ou assister et se joindre au cortège.
MACAQ crée ce problème au Carnaval de Paris depuis 2005 et il s'est accentué en 2008. Si cette conception différenciant le public et le Carnaval triomphait, ce serait la fin du Carnaval.
Il n'aurait plus de “Carnaval” que le nom. Ce serait juste un spectacle de rue parmi d'autres. Cette initiative pour vider le Carnaval de sa substance au nom d'une imaginaire “sécurité” par ailleurs très bien assurée par la police, est l'œuvre d'une seule association et n'est pas validée par l'organisateur officiel du Carnaval. On peut d'ailleurs regretter que tant d'énergie soit mise dans une mascarade de service d'ordre, ne faisant que déranger participants et spectateurs. Pour information, plusieurs associations et participants se sont déjà plaints du comportement du “service de sécurité” de MACAQ.
Mise en garde :
Si l'association MACAQ souhaite continuer à participer au Carnaval de Paris, elle doit commencer par en respecter le principe, les participants et spectateurs et la seule association organisatrice : DROIT A LA CULTURE. MACAQ doit également cesser de prétendre à des subventions en tant qu'”organisateur du Carnaval de Paris”. Il est inadmissible que MACAQ détourne ainsi l'argent public, pendant que DROIT A LA CULTURE assume par elle-même les frais divers, par exemple l'assurance de la fête.
Tel est l'intérêt de la fête et des Parisiens que nous défendrons comme nous l'avons toujours fait.
Durant des années l'association MACAQ a ignoré nos doléances. Il est bien triste d'avoir aujourd'hui à rendre public une telle mise au point et les organisateurs du Carnaval de Paris ont toujours voulu éviter cela. Mais la gravité des incidents survenus en 2009 nous y oblige.
Si l'association MACAQ n'arrête pas sa tentative de se faire passer pour organisatrice officielle du Carnaval de Paris, si elle continue à chercher à usurper ce titre, si elle continue à chercher à détourner et dénaturer cette fête populaire pour la détruire et en faire autre chose, l'association Droit à la Culture usera de tous moyens légaux, y compris judiciaires, pour faire cesser ce trouble.
Afin que tous les festifs parisiens puissent Carnavaler dans la Joie et le Respect en 2010 et par la suite. Le Carnaval de Paris 2010 défilera le dimanche 14 février 2010 jour de la Saint Valentin, d'où un thème 2010 tout trouvé : “l'Amour” !
Paris, le 30 avril 2009.
Basile PACHKOFF, artiste peintre, poète, carnavaleux.
Président de l'association DROIT A LA CULTURE "
Toute cette histoire donne le pénible sentiment qu'une sorte d'activisme de rue et d'occupation de terrain se met doucement en place sous prétexte d'animation et que le visage souriant de la "fêêêêêête" chère à Delanoë pourrait facilement prendre un aspect grimaçant. Bref, il faut ouvrir l'oeil.