La tâche serait confiée à "un prestataire extérieur, spécialisé dans cette activité", autrement dit un opérateur privé avec comme objectif d'accroître le taux de paiement du stationnement dans la capitale.
Hidalgo parle d'un taux de paiement de 9 % sans d'ailleurs vraiment établir ce chiffre fantaisiste dont on ne sait s'il inclut les livraisons, les places handicapées, etc.
Elle prend l'exemple de Madrid où des véhicules, gérés par une entreprise privée, équipés de systèmes de lecture automatique des plaques d'immatriculation, vérifient si les droits de stationnement ont été acquittés.
Tout ceci à un côté "Big brother" prononcé et les litiges sur la fiabilité de ces détections seront très nombreux.
Comme elle claque du bec du fait de ses nombreuses dilapidations financières, Hidalgo cherche de l'argent en tapant encore et toujours sur les automobilistes et introduit à Paris un contrôle para-policier qui fait figurer la télésurveillance dans la catégorie des aimables plaisanteries. Une fois encore : socialisme = ruine = flicage.
Mais il y a pire. Elle annonce que les 1 600 agents municipaux affectés actuellement à la tâche de contrôle pourront être basculés vers d'autres missions.
De deux choses l'une. Soit les sociétés privées qui seront sélectionnées se paieront intégralement sur la bête et cela ne coûtera pas plus cher à la ville. Mais cela créera un climat délétère de chasse à l'automobiliste. Soit Paris les paiera au moins en partie et comme la ville continuera à rémunérer les agents autrefois affectés à cette tâche, la charge budgétaire augmentera. Bref, une création déguisée d'emplois para-publics dans une ville qui souffre d'une pléthore administrative ...
Pour faire entrer l'argent des contredanses, Stupidalgo nous fait la danse de Saint-Guy !
Hidalgo parle d'un taux de paiement de 9 % sans d'ailleurs vraiment établir ce chiffre fantaisiste dont on ne sait s'il inclut les livraisons, les places handicapées, etc.
Elle prend l'exemple de Madrid où des véhicules, gérés par une entreprise privée, équipés de systèmes de lecture automatique des plaques d'immatriculation, vérifient si les droits de stationnement ont été acquittés.
Tout ceci à un côté "Big brother" prononcé et les litiges sur la fiabilité de ces détections seront très nombreux.
Comme elle claque du bec du fait de ses nombreuses dilapidations financières, Hidalgo cherche de l'argent en tapant encore et toujours sur les automobilistes et introduit à Paris un contrôle para-policier qui fait figurer la télésurveillance dans la catégorie des aimables plaisanteries. Une fois encore : socialisme = ruine = flicage.
Mais il y a pire. Elle annonce que les 1 600 agents municipaux affectés actuellement à la tâche de contrôle pourront être basculés vers d'autres missions.
De deux choses l'une. Soit les sociétés privées qui seront sélectionnées se paieront intégralement sur la bête et cela ne coûtera pas plus cher à la ville. Mais cela créera un climat délétère de chasse à l'automobiliste. Soit Paris les paiera au moins en partie et comme la ville continuera à rémunérer les agents autrefois affectés à cette tâche, la charge budgétaire augmentera. Bref, une création déguisée d'emplois para-publics dans une ville qui souffre d'une pléthore administrative ...
Pour faire entrer l'argent des contredanses, Stupidalgo nous fait la danse de Saint-Guy !