LES TUILES D’AUTOMNE EMPORTEES PAR LE VENT
Irma n’a pas été douce pour nos amis d’outre-mer. L’ouragan qui a dévasté Saint Barthélémy et Saint Martin a été terrible. Mais ce n’est pas fini, c’est maintenant que le pire arrive. À la destruction succède le pillage par des bandes organisées qui démolissent ce qui reste pour entrer dans les villas ou les appartements, sans faire le moindre cas des habitants, qu’ils n’hésitent pas à chasser de chez eux pour voler tout ce qui peut l’être.
Soyons précis : il n’y a pas que de somptueuses villas de riches rentiers ou de vedettes, comme celle que Trump a mise en vente et que notre presse imbécile a imaginée en ruine, sans même en avoir la moindre idée. Il y a des autochtones, et des blancs qui vivent là-bas depuis des années : personnel soignant, professeurs, commerçants, hôteliers… Et puis il y a des gens d’autres îles moins réputées pour leur état providence, venus en toute illégalité installer des bidonvilles.
Or, comme par hasard, ce sont les maisons des blancs qui travaillent qui sont pillées, et les habitants chassés. On se doute que parmi les pillards figurent en première ligne les indésirables des bidonvilles, mais peut être aussi des îliens, prompts à haïr les blancs qui gagnent de l’argent en bossant tandis qu’eux se complaisent à toucher RSA et allocs… mais sont jaloux !
Il règne un climat de guerre civile. La maigre armée et les quelques policiers envoyés sur place ne parviennent pas à maintenir l’ordre et à protéger les habitants blancs. Curieusement la partie hollandaise de Saint Martin est aussi dévastée, mais les Pays Bas ont pris leurs précautions et envoyé des troupes suffisamment nombreuses pour faire respecter le couvre-feu. Côté Français, les habitants se terrent chez eux, certains n’ont rien à boire et à manger, ils ne peuvent pas mettre le nez dehors pour aller chercher des secours, ils sont terrorisés à l’idée que les bandes parviennent à entrer chez eux, et ils se sentent totalement abandonnés.
Pendant ce temps, Jupiter est sur l’Acropole pour cracher sur les Français qu’il traite de fainéants, donner aux Grecs des cours de démocratie et leur expliquer Platon, et se fiche éperdument des victimes des îles. Ce ne sont que des Français et ils ne sont pas musulmans ?
On nous bassine avec le soi-disant génocide des Royingas en Birmanie, en oubliant que cette tribu de bigots islamisés empoisonne la vie des Birmans, mais la guerre déclarée aux blancs de nos îles, ça ne compte pas !
On se demande aussi comment, sur des territoires réputés pour la fréquence des ouragans, la France a pu laisser bâtir des hôpitaux et des écoles qui ne résistent pas au vent, et pourquoi les lignes électriques ne sont pas enterrées…
UN COIN DE CIEL BLEU DANS LA TEMPETE
Notre ministre de l’Education Nationale a enfin l’intention de mettre un peu de bon sens dans cette armée rouge. Revenir à la méthode syllabique et laisser les écoles gérer leurs rythmes scolaires, réapprendre l’histoire de façon chronologique, c’est très bien. Passons sur l’idée stupide du dédoublement des CP en ZEP, l’idée n’est pas de lui mais de son chef : on voit déjà que ça ne marche pas car le problème de base c’est que les enfants ne peuvent rien apprendre si au départ ils ne parlent même pas français. C’est par là qu’il aurait fallu commencer et dès la maternelle. Mais comme Jupiter est têtu, il veut que l’an prochain on dédouble aussi les classes de CE1 et CE2. Moins ça marche plus il faut continuer, proverbe socialiste.
Je me dis que si Blanquer réussit à remettre l’école à l’endroit il va falloir que Jupiter s’inscrive en CP. Il pourra redécouvrir l’histoire à laquelle il n’a rien compris, et apprendre à s’exprimer en Français et non en charabia pseudo philosophique. Il a fait partie des générations d’illettrés produite par 50 ans de diktats de pédagogues illuminés et visiblement ses cours particuliers n’ont servi à rien : l’enseignement en position horizontale n’est pas approprié aux apprentissages intellectuels.
Irma n’a pas été douce pour nos amis d’outre-mer. L’ouragan qui a dévasté Saint Barthélémy et Saint Martin a été terrible. Mais ce n’est pas fini, c’est maintenant que le pire arrive. À la destruction succède le pillage par des bandes organisées qui démolissent ce qui reste pour entrer dans les villas ou les appartements, sans faire le moindre cas des habitants, qu’ils n’hésitent pas à chasser de chez eux pour voler tout ce qui peut l’être.
Soyons précis : il n’y a pas que de somptueuses villas de riches rentiers ou de vedettes, comme celle que Trump a mise en vente et que notre presse imbécile a imaginée en ruine, sans même en avoir la moindre idée. Il y a des autochtones, et des blancs qui vivent là-bas depuis des années : personnel soignant, professeurs, commerçants, hôteliers… Et puis il y a des gens d’autres îles moins réputées pour leur état providence, venus en toute illégalité installer des bidonvilles.
Or, comme par hasard, ce sont les maisons des blancs qui travaillent qui sont pillées, et les habitants chassés. On se doute que parmi les pillards figurent en première ligne les indésirables des bidonvilles, mais peut être aussi des îliens, prompts à haïr les blancs qui gagnent de l’argent en bossant tandis qu’eux se complaisent à toucher RSA et allocs… mais sont jaloux !
Il règne un climat de guerre civile. La maigre armée et les quelques policiers envoyés sur place ne parviennent pas à maintenir l’ordre et à protéger les habitants blancs. Curieusement la partie hollandaise de Saint Martin est aussi dévastée, mais les Pays Bas ont pris leurs précautions et envoyé des troupes suffisamment nombreuses pour faire respecter le couvre-feu. Côté Français, les habitants se terrent chez eux, certains n’ont rien à boire et à manger, ils ne peuvent pas mettre le nez dehors pour aller chercher des secours, ils sont terrorisés à l’idée que les bandes parviennent à entrer chez eux, et ils se sentent totalement abandonnés.
Pendant ce temps, Jupiter est sur l’Acropole pour cracher sur les Français qu’il traite de fainéants, donner aux Grecs des cours de démocratie et leur expliquer Platon, et se fiche éperdument des victimes des îles. Ce ne sont que des Français et ils ne sont pas musulmans ?
On nous bassine avec le soi-disant génocide des Royingas en Birmanie, en oubliant que cette tribu de bigots islamisés empoisonne la vie des Birmans, mais la guerre déclarée aux blancs de nos îles, ça ne compte pas !
On se demande aussi comment, sur des territoires réputés pour la fréquence des ouragans, la France a pu laisser bâtir des hôpitaux et des écoles qui ne résistent pas au vent, et pourquoi les lignes électriques ne sont pas enterrées…
UN COIN DE CIEL BLEU DANS LA TEMPETE
Notre ministre de l’Education Nationale a enfin l’intention de mettre un peu de bon sens dans cette armée rouge. Revenir à la méthode syllabique et laisser les écoles gérer leurs rythmes scolaires, réapprendre l’histoire de façon chronologique, c’est très bien. Passons sur l’idée stupide du dédoublement des CP en ZEP, l’idée n’est pas de lui mais de son chef : on voit déjà que ça ne marche pas car le problème de base c’est que les enfants ne peuvent rien apprendre si au départ ils ne parlent même pas français. C’est par là qu’il aurait fallu commencer et dès la maternelle. Mais comme Jupiter est têtu, il veut que l’an prochain on dédouble aussi les classes de CE1 et CE2. Moins ça marche plus il faut continuer, proverbe socialiste.
Je me dis que si Blanquer réussit à remettre l’école à l’endroit il va falloir que Jupiter s’inscrive en CP. Il pourra redécouvrir l’histoire à laquelle il n’a rien compris, et apprendre à s’exprimer en Français et non en charabia pseudo philosophique. Il a fait partie des générations d’illettrés produite par 50 ans de diktats de pédagogues illuminés et visiblement ses cours particuliers n’ont servi à rien : l’enseignement en position horizontale n’est pas approprié aux apprentissages intellectuels.