Fidèle à sa détestable habitude de tout traiter par la com’ et poursuivant une basse vengeance dans l’affaire du mariage homo, la mairie de Paris a convoqué les médias pour se vanter de la mise en colocation étudiante de l’appartement autrefois loué à Frigide Barjot et sa famille. Pour expulser cette dernière, les édiles delano-coco-hidalguistes, (notons au passage que l’adjoint au logement Ian Brossat (PC) claironne son homosexualité, mais il est certainement d’une neutralité parfaite dans cette opération) avaient tiré prétexte du fait que l’égérie de la Manif pour tous y avait domicilié sans autorisation une petite société de conseil.
Il suffit pourtant de faire campagne électorale dans les immeubles parisiens, notamment ceux des quartiers bobos, pour constater que les boîtes à lettres des occupants des logements dits sociaux sont souvent agrémentées d’étiquettes indiquant les noms de ce type de micro-structures. L’auto-entreprenariat promu par Sarkozy a été largement utilisé par cette population qui exerce assez fréquemment une activité para libérale dans le domaine de la formation, de l’art, du conseil, etc.
Mais, hormis la pauvre Frigide, on signale très peu d’expulsions de ce fait ! La mairie aurait pu se borner à lui demander de cesser son activité ou même tirer prétexte pour augmenter son loyer. Mais elle a été jusqu’au boutiste et a trouvé des juges qui ont validé la mesure extrême. Toujours est-il que l’affreux Brossat a pu plastronner en inaugurant le « duplex étudiant », étrange concept !, en compagnie de Marie-Christine Lemardeley, universitaire qui ne se grandit pas dans cette opération minable de propagande.
Cette farce à destination des médias et de l’électorat bien-pensant des écococialistes parisiens a naturellement un coût élevé. On apprend que la transformation des lieux revient 75 000 euros à la RIVP et son ameublement 11 000 euros soit près de 500 euros par mètre carré pour de simples travaux intérieurs de transformation d’un local qui était auparavant habitable. Il y aura même lave-linge et sèche-linge fournis gracieusement. Bref, du grand gaspillage. D’autant que les occupants, étudiants boursiers comme il se doit pour le dossier de presse, ne verseront chacun qu’un loyer de 470 euros, dont l’APL prendra 170 euros en charge. Frigide Barjot s’acquittait d’un loyer de 2850 euros par mois, soit un montant bien supérieur à ce que percevra désormais la ville via la RIVP. Un micro-exemple du caractère ruineux des logements clientélistes dont la mairie a fait au fil des ans le socle principal de sa mainmise sur la capitale.
Notons enfin que les nouveaux occupants se déclarent naturellement favorables au mariage pour tous et posent en Vélib’ pour les photographes du Parisien. Un saumâtre condensé de démagogie ridicule, de dilapidation des fonds publics et de vengeance intolérante …
Il suffit pourtant de faire campagne électorale dans les immeubles parisiens, notamment ceux des quartiers bobos, pour constater que les boîtes à lettres des occupants des logements dits sociaux sont souvent agrémentées d’étiquettes indiquant les noms de ce type de micro-structures. L’auto-entreprenariat promu par Sarkozy a été largement utilisé par cette population qui exerce assez fréquemment une activité para libérale dans le domaine de la formation, de l’art, du conseil, etc.
Mais, hormis la pauvre Frigide, on signale très peu d’expulsions de ce fait ! La mairie aurait pu se borner à lui demander de cesser son activité ou même tirer prétexte pour augmenter son loyer. Mais elle a été jusqu’au boutiste et a trouvé des juges qui ont validé la mesure extrême. Toujours est-il que l’affreux Brossat a pu plastronner en inaugurant le « duplex étudiant », étrange concept !, en compagnie de Marie-Christine Lemardeley, universitaire qui ne se grandit pas dans cette opération minable de propagande.
Cette farce à destination des médias et de l’électorat bien-pensant des écococialistes parisiens a naturellement un coût élevé. On apprend que la transformation des lieux revient 75 000 euros à la RIVP et son ameublement 11 000 euros soit près de 500 euros par mètre carré pour de simples travaux intérieurs de transformation d’un local qui était auparavant habitable. Il y aura même lave-linge et sèche-linge fournis gracieusement. Bref, du grand gaspillage. D’autant que les occupants, étudiants boursiers comme il se doit pour le dossier de presse, ne verseront chacun qu’un loyer de 470 euros, dont l’APL prendra 170 euros en charge. Frigide Barjot s’acquittait d’un loyer de 2850 euros par mois, soit un montant bien supérieur à ce que percevra désormais la ville via la RIVP. Un micro-exemple du caractère ruineux des logements clientélistes dont la mairie a fait au fil des ans le socle principal de sa mainmise sur la capitale.
Notons enfin que les nouveaux occupants se déclarent naturellement favorables au mariage pour tous et posent en Vélib’ pour les photographes du Parisien. Un saumâtre condensé de démagogie ridicule, de dilapidation des fonds publics et de vengeance intolérante …