Nous avions bien songé, dans un premier temps, à demander à un certain Serge Federbusch, élu du Xème arrondissement, de présenter sa candidature à la direction du 104. Il n'y connaît rien et c'eût été un atout considérable pour être respecté par la mairie. De plus, cet individu nous harcèle de propositions d'articles en tous genres que nous sommes contraints de publier pour qu'il nous lâche la grappe. Las ! Le voilà décidé à être candidat aux élections régionales ( voir en cliquant ici), ce qui ne lui laisse même pas le temps de se rendre à un entretien d'embauche. C'est fâcheux ...
Aussi avons-nous fermement cogité et trouvé LA solution. Comme souvent, elle était évidente, là, sous nos yeux.
La mairie vient en effet d'installer une brocante Emmaüs au 104 (voir en cliquant là), lieu qui, il y a moins d'un an, était programmé pour abriter le nec plus ultra de la création contemporaine. On se doute bien que le prix de location de cette boutique associative ne va pas aider à colmater l'hémorragie budgétaire qui gicle à gros jets rue d'Aubervilliers (10 millions d'euros par an environ).
Autant aller jusqu'au bout de la démarche et tenter, vaille que vaille, de trouver un peu de sous. Déplaçons les Puces de Saint-Ouen au 104 ! Aujourd'hui, collée au Périph' ou à l'étroit dans une architecture sans souffle ni hauteur de plafond, cette Mecque de la fripe et de la brocante est en train de sombrer. Que la Ville la rapatrie sur son territoire et y installe ses marchands d'antiques, antiquités et antiquitailles en leur accordant des loyers à prix cassés. Ils rappliqueront, surtout si Drouot, fuyant les vents mauvais de la mise en examen de certains de ses personnels, cherche également à changer de crèmerie.
Un vaste espace dévolu aux ventes à l'encan et autres "décrochez-moi-ça" : le destin du 104 est enfin trouvé !
Pour les premières ventes, nous suggérons les exemplaires non écoulés de "De l'audace",ouvrage de référence pour qui ne veut pas présenter sa candidature à la présidence de la République, le mobilier urbain changé trois fois du boulevard de Magenta, les interventions ruineuses de Sophie Calle sur le pont du Garigliano, les décors Art déco du Louxor en cours de destruction, les sculptures Lalanne des Halles bientôt rasées et tout un stock de T shirts frappés du logo "l'amour des jeux".
Tout cela mériterait une petite commission pour le Delanopolis mais paraît-il que la loi s'y oppose. Ce que monde est mal fait tout de même ...
Aussi avons-nous fermement cogité et trouvé LA solution. Comme souvent, elle était évidente, là, sous nos yeux.
La mairie vient en effet d'installer une brocante Emmaüs au 104 (voir en cliquant là), lieu qui, il y a moins d'un an, était programmé pour abriter le nec plus ultra de la création contemporaine. On se doute bien que le prix de location de cette boutique associative ne va pas aider à colmater l'hémorragie budgétaire qui gicle à gros jets rue d'Aubervilliers (10 millions d'euros par an environ).
Autant aller jusqu'au bout de la démarche et tenter, vaille que vaille, de trouver un peu de sous. Déplaçons les Puces de Saint-Ouen au 104 ! Aujourd'hui, collée au Périph' ou à l'étroit dans une architecture sans souffle ni hauteur de plafond, cette Mecque de la fripe et de la brocante est en train de sombrer. Que la Ville la rapatrie sur son territoire et y installe ses marchands d'antiques, antiquités et antiquitailles en leur accordant des loyers à prix cassés. Ils rappliqueront, surtout si Drouot, fuyant les vents mauvais de la mise en examen de certains de ses personnels, cherche également à changer de crèmerie.
Un vaste espace dévolu aux ventes à l'encan et autres "décrochez-moi-ça" : le destin du 104 est enfin trouvé !
Pour les premières ventes, nous suggérons les exemplaires non écoulés de "De l'audace",ouvrage de référence pour qui ne veut pas présenter sa candidature à la présidence de la République, le mobilier urbain changé trois fois du boulevard de Magenta, les interventions ruineuses de Sophie Calle sur le pont du Garigliano, les décors Art déco du Louxor en cours de destruction, les sculptures Lalanne des Halles bientôt rasées et tout un stock de T shirts frappés du logo "l'amour des jeux".
Tout cela mériterait une petite commission pour le Delanopolis mais paraît-il que la loi s'y oppose. Ce que monde est mal fait tout de même ...