Quand on est comme moi, un lecteur attentif du Delanopolis, on s’aperçoit que Serge Federbusch malgré ses ... ( censuré pour ne pas attiser l'immodestie de ce personnage) ... n’a jamais fait appel à la chanson pour dénoncer les dérives électoralistes de l’actuelle municipalité de Paris.
Cette lacune, je me dois à titre amical de la combler, je ne suis pas compositeur de musique, mais grâce à l’obligeance de monsieur Théodorakis et du parti socialiste cet obstacle peut être surmonté.
Il vous suffit de suivre ce lien et d’y substituer ces paroles (cliquez ici ).
"Delanoë était un socialiste,
Il était jeune, il était militant,
Et pour ses tout premiers tours de piste,
Vers les meetings, il partait en chantant.
Cette chanson, si on la réécoute,
Prends un relief tout à fait saisissant.
Un des couplets, même si ça nous coute,
Écoutons-le, bien attentivement :
« Il nous faudra reprendre en main nos villes,
Qui ne sont plus que des ghettos géants,
Ou le printemps n’a plus le droit d’asile,
Ou meurent les vieux, les arbres, les enfants.
C’est dans nos propres murs qu’on nous exile,
Changeons la vie, ici et maintenant … !!! ».
Bien sûr il ne veut plus changer la vie,
Les années passent, il a vieilli Bertrand,
Plus que pitié, il préfère faire envie,
Et le notable a tué le militant.
C’est aux Batignolles qu’il veut construire,
Un des ghettos qu’il allait dénonçant
Tout ceci prêterait plutôt à rire,
S’il n’y allait du bien-être des gens ».
J-M S.
Cette lacune, je me dois à titre amical de la combler, je ne suis pas compositeur de musique, mais grâce à l’obligeance de monsieur Théodorakis et du parti socialiste cet obstacle peut être surmonté.
Il vous suffit de suivre ce lien et d’y substituer ces paroles (cliquez ici ).
"Delanoë était un socialiste,
Il était jeune, il était militant,
Et pour ses tout premiers tours de piste,
Vers les meetings, il partait en chantant.
Cette chanson, si on la réécoute,
Prends un relief tout à fait saisissant.
Un des couplets, même si ça nous coute,
Écoutons-le, bien attentivement :
« Il nous faudra reprendre en main nos villes,
Qui ne sont plus que des ghettos géants,
Ou le printemps n’a plus le droit d’asile,
Ou meurent les vieux, les arbres, les enfants.
C’est dans nos propres murs qu’on nous exile,
Changeons la vie, ici et maintenant … !!! ».
Bien sûr il ne veut plus changer la vie,
Les années passent, il a vieilli Bertrand,
Plus que pitié, il préfère faire envie,
Et le notable a tué le militant.
C’est aux Batignolles qu’il veut construire,
Un des ghettos qu’il allait dénonçant
Tout ceci prêterait plutôt à rire,
S’il n’y allait du bien-être des gens ».
J-M S.