Perdants en Série
Il paraît que l’on ne peut récolter que ce qu’on a semé. Ainsi en est-il des élections européennes : le Parti Stalinien a semé la haine et récolté le FN. Il a divisé les Français en espérant régner, fait son miel des « affaires » réelles ou inventées de l’UMP en oubliant les siennes, et ainsi contribué à un peu plus discréditer la classe politique. Il a œuvré contre les Français mais pour ses amis, ceux du capitalisme de connivence.
Depuis des années la classe politique de gauche dicte ce qu’il faut penser et celle qui se dit de droite s’excuse d’être de droite. La gauche est au pouvoir et finit de ruiner la France déjà bien amochée par l’étatisme pseudo droitier qui a suivi les années Mitterrand. La seule chose qu’ils soient capables de faire, c’est de détruire. Et tout ce que sait faire la fausse droite, c’est se disputer, et s’excuser quand la gauche fait les gros yeux.
En Europe, personne n’est là pour défendre les intérêts Français, au contraire. Nos parlementaires sont absents ! Comment s’étonner que les Français détestent cette Europe si bureaucratique que le pire se cache sous la paperasse de fonctionnaires coupables mais jamais responsables… La France, cette fois, est grandement responsable de ces dérives : n’est-ce pas Monsieur Delors ? N’est-ce pas VGE, auteur d’un traité constitutionnel imbuvable refusé par les Français ? N’est-ce pas, Monsieur Sarkozy, qui nous avez imposé ce même traité au nom de vous-même et certainement pas du peuple français ?
Mais le pire de tout, c’est que le PS et son représentant Normal 1er, parti au pouvoir, n’est pas capable de comprendre pourquoi il a pris une telle claque. Les Français ont mal voté, ce sont des imbéciles sans doute, ils n’ont pas compris que le socialisme béat est la seule Vérité, incontournable, qu’il est à lui seul le Camp du Bien, la Lumière à suivre pour la béatitude collective (mais certainement pas individuelle).
Ce n’est pas leur faute. Jamais. Ce n’est pas à cause de leur politique idiote, irréaliste, sectaire, c’est la faute de l’UMP qui a fait trop parler d’elle, de Marine Le Pen qui aurait dû avoir la décence de ne pas présenter de liste, des Verts qui ont fait de l’ombre, de l’UDI-Modem qui a piqué les voix centristes, des marchés financiers, des méchants patrons qui n’amènent pas la croissance, de la BCE qui refuse de faire marcher la planche à billets pour que la seule gabegie française continue, de Merkel et Schröder, ce mauvais socialiste qui fait des réformes libérales. Mais pas du PS français ni du gouvernement… En cherchant un peu on trouvera bien d’autres boucs émissaires, peu importe, pourvu qu’ils ne se remettent pas en question. J’ai même entendu un socialiste dont je tairai le nom car il ne mérite pas de publicité dire : « les Allemands ont un excédent budgétaire, ils devraient nous aider ». Ben voyons : moi j’ai économisé péniblement 500 euros dont j’aurais sans doute besoin sous peu, faudrait-il que je les donne à mon voisin de palier parce qu’il a envie de s’offrir un home-cinéma et qu’il a flambé tout son salaire, par ailleurs supérieur au mien, en voyages que je ne peux pas me payer et cadeaux pour sa maîtresse ?
Endoctrinement National
Entre 2004 et 2011, le nombre d’élèves en difficulté en CE2 est passé de 10 à un peu plus de 12% malgré un meilleur niveau à l’entrée au CP (juste après la maternelle pour ceux qui ne parlent pas la novlangue EN – le CE2 c’est deux ans après). Autrement dit, l’enseignement s’est dégradé. Le vocabulaire et la grammaire sont coincés au 36e sous-sol, le calcul n’a guère évolué, encore que les élèves soustraient mieux paraît-il. Peut-être que la notion de VOL a été bien perçue, dans notre état de non droit ? En revanche ils ne savent plus résoudre de problèmes. Un peu comme nos politiciens en somme. Evidemment s’il faut réfléchir…
Bien entendu puisque ça marchait déjà très mal et que ça se dégradait d’année en année, il faut continuer et amplifier la même politique « éducative ». A savoir :
- bannir tout ce qui demande un effort et faire du ludique en prenant soin que le niveau de jeu soit quelques crans en-dessous du niveau des élèves : ainsi verra-t-on des enfants de CM2, de 10 ans, colorier des chiffres de 1 à 9 pour apprendre à compter dans la langue de Shakespeare (c’est du vécu).
- plus de devoirs du tout à la maison, parce que c’est inégalitaire même pour ceux qui restent à l’étude, donc plus de moyens de s’exercer. Quant-aux leçons, point trop n’en faut, les parents pourraient se plaindre que leur gamin n’a plus le temps de regarder la TV ou de jouer à la Wii dès qu’il rentre de l’école.
- attention à ne pas vexer les chérubins avec des notes trop basses. On peut les traumatiser à vie.
- au lieu d’instruire les enfants, leur bourrer le mou avec la repentance des méchants Français colonisateurs, la lutte contre le racisme, l’homophilie obligatoire et autres digressions qui n’ont pas grand-chose à voir avec la culture générale. Leur expliquer dès six ans à quoi sert la pilule et comment la prendre mais pas comment devenir des adultes responsables. Ne pas oublier que l’individu ne compte pas, il doit s’effacer devant le collectif, et la responsabilité collective n’existe pas. Les bassiner avec l’écologisme punitif et les empoisonner au bio à la cantine mais ne pas réprimander les pires comportements. Interdire le jambon beurre dans les sorties scolaires mais pas les accompagnatrices enfoulardées. Pour la journée du patrimoine à Strasbourg, ne pas visiter la Cathédrale, préférer une mosquée moderne (ça a été fait).
- Surtout continuer à ne s’occuper que des élèves en grand échec et oublier tous les autres, pour être sûr de multiplier le nombre d’échecs, après tout ça justifie des postes supplémentaires et ça permet aux fils de profs de rester en haut du panier, ils ont des cours particuliers à la maison. Et puis pour les « plus riches », ceux que le socialisme n’aime pas, paraît-il, il y a les écoles hors contrat et les cours de soutien.
- et tomber dans le syndrome de Peter. Comme le ministère ne sait pas régler le problème, il s’occupe des rythmes scolaires et du changement de mobilier scolaire, ce que n’importe quel directeur d’établissement sait certainement faire mieux que le ministre, d’autant plus que lui, il est 5 jours sur 7 dans son école. Parfois même il y vit.
Comme dit la chanson : « et tout ça, ça fait d’excellents Français. » De futurs bons moutons accros aux aides sociales à vie.
Il paraît que l’on ne peut récolter que ce qu’on a semé. Ainsi en est-il des élections européennes : le Parti Stalinien a semé la haine et récolté le FN. Il a divisé les Français en espérant régner, fait son miel des « affaires » réelles ou inventées de l’UMP en oubliant les siennes, et ainsi contribué à un peu plus discréditer la classe politique. Il a œuvré contre les Français mais pour ses amis, ceux du capitalisme de connivence.
Depuis des années la classe politique de gauche dicte ce qu’il faut penser et celle qui se dit de droite s’excuse d’être de droite. La gauche est au pouvoir et finit de ruiner la France déjà bien amochée par l’étatisme pseudo droitier qui a suivi les années Mitterrand. La seule chose qu’ils soient capables de faire, c’est de détruire. Et tout ce que sait faire la fausse droite, c’est se disputer, et s’excuser quand la gauche fait les gros yeux.
En Europe, personne n’est là pour défendre les intérêts Français, au contraire. Nos parlementaires sont absents ! Comment s’étonner que les Français détestent cette Europe si bureaucratique que le pire se cache sous la paperasse de fonctionnaires coupables mais jamais responsables… La France, cette fois, est grandement responsable de ces dérives : n’est-ce pas Monsieur Delors ? N’est-ce pas VGE, auteur d’un traité constitutionnel imbuvable refusé par les Français ? N’est-ce pas, Monsieur Sarkozy, qui nous avez imposé ce même traité au nom de vous-même et certainement pas du peuple français ?
Mais le pire de tout, c’est que le PS et son représentant Normal 1er, parti au pouvoir, n’est pas capable de comprendre pourquoi il a pris une telle claque. Les Français ont mal voté, ce sont des imbéciles sans doute, ils n’ont pas compris que le socialisme béat est la seule Vérité, incontournable, qu’il est à lui seul le Camp du Bien, la Lumière à suivre pour la béatitude collective (mais certainement pas individuelle).
Ce n’est pas leur faute. Jamais. Ce n’est pas à cause de leur politique idiote, irréaliste, sectaire, c’est la faute de l’UMP qui a fait trop parler d’elle, de Marine Le Pen qui aurait dû avoir la décence de ne pas présenter de liste, des Verts qui ont fait de l’ombre, de l’UDI-Modem qui a piqué les voix centristes, des marchés financiers, des méchants patrons qui n’amènent pas la croissance, de la BCE qui refuse de faire marcher la planche à billets pour que la seule gabegie française continue, de Merkel et Schröder, ce mauvais socialiste qui fait des réformes libérales. Mais pas du PS français ni du gouvernement… En cherchant un peu on trouvera bien d’autres boucs émissaires, peu importe, pourvu qu’ils ne se remettent pas en question. J’ai même entendu un socialiste dont je tairai le nom car il ne mérite pas de publicité dire : « les Allemands ont un excédent budgétaire, ils devraient nous aider ». Ben voyons : moi j’ai économisé péniblement 500 euros dont j’aurais sans doute besoin sous peu, faudrait-il que je les donne à mon voisin de palier parce qu’il a envie de s’offrir un home-cinéma et qu’il a flambé tout son salaire, par ailleurs supérieur au mien, en voyages que je ne peux pas me payer et cadeaux pour sa maîtresse ?
Endoctrinement National
Entre 2004 et 2011, le nombre d’élèves en difficulté en CE2 est passé de 10 à un peu plus de 12% malgré un meilleur niveau à l’entrée au CP (juste après la maternelle pour ceux qui ne parlent pas la novlangue EN – le CE2 c’est deux ans après). Autrement dit, l’enseignement s’est dégradé. Le vocabulaire et la grammaire sont coincés au 36e sous-sol, le calcul n’a guère évolué, encore que les élèves soustraient mieux paraît-il. Peut-être que la notion de VOL a été bien perçue, dans notre état de non droit ? En revanche ils ne savent plus résoudre de problèmes. Un peu comme nos politiciens en somme. Evidemment s’il faut réfléchir…
Bien entendu puisque ça marchait déjà très mal et que ça se dégradait d’année en année, il faut continuer et amplifier la même politique « éducative ». A savoir :
- bannir tout ce qui demande un effort et faire du ludique en prenant soin que le niveau de jeu soit quelques crans en-dessous du niveau des élèves : ainsi verra-t-on des enfants de CM2, de 10 ans, colorier des chiffres de 1 à 9 pour apprendre à compter dans la langue de Shakespeare (c’est du vécu).
- plus de devoirs du tout à la maison, parce que c’est inégalitaire même pour ceux qui restent à l’étude, donc plus de moyens de s’exercer. Quant-aux leçons, point trop n’en faut, les parents pourraient se plaindre que leur gamin n’a plus le temps de regarder la TV ou de jouer à la Wii dès qu’il rentre de l’école.
- attention à ne pas vexer les chérubins avec des notes trop basses. On peut les traumatiser à vie.
- au lieu d’instruire les enfants, leur bourrer le mou avec la repentance des méchants Français colonisateurs, la lutte contre le racisme, l’homophilie obligatoire et autres digressions qui n’ont pas grand-chose à voir avec la culture générale. Leur expliquer dès six ans à quoi sert la pilule et comment la prendre mais pas comment devenir des adultes responsables. Ne pas oublier que l’individu ne compte pas, il doit s’effacer devant le collectif, et la responsabilité collective n’existe pas. Les bassiner avec l’écologisme punitif et les empoisonner au bio à la cantine mais ne pas réprimander les pires comportements. Interdire le jambon beurre dans les sorties scolaires mais pas les accompagnatrices enfoulardées. Pour la journée du patrimoine à Strasbourg, ne pas visiter la Cathédrale, préférer une mosquée moderne (ça a été fait).
- Surtout continuer à ne s’occuper que des élèves en grand échec et oublier tous les autres, pour être sûr de multiplier le nombre d’échecs, après tout ça justifie des postes supplémentaires et ça permet aux fils de profs de rester en haut du panier, ils ont des cours particuliers à la maison. Et puis pour les « plus riches », ceux que le socialisme n’aime pas, paraît-il, il y a les écoles hors contrat et les cours de soutien.
- et tomber dans le syndrome de Peter. Comme le ministère ne sait pas régler le problème, il s’occupe des rythmes scolaires et du changement de mobilier scolaire, ce que n’importe quel directeur d’établissement sait certainement faire mieux que le ministre, d’autant plus que lui, il est 5 jours sur 7 dans son école. Parfois même il y vit.
Comme dit la chanson : « et tout ça, ça fait d’excellents Français. » De futurs bons moutons accros aux aides sociales à vie.