Arrêtez l'incendiaire !
" Quand Delanéron joue du foret à 22 h 30 …
22 h30, un soir de semaine, un petit immeuble montmartrois, d'une petite rue des Abbesses, somnole déjà…
Tout à coup, sa façade se réveille en sursaut !
Montmartre s’effondre et ses carrières avec ? Un bruit aussi puissant qu’étrange secoue le second étage plus que les autres… Les étages se téléphonent, les plus courageux sortent affronter la froidure, pour voir, savoir, comprendre… ou filer avant la catastrophe (?).
Et là !
Avec Bertrand de la Mairie, tout est permis !
Perché sur une sorte d’échelle-grue, s’offre le spectacle hallucinant d’un monsieur forant le mur de façade à hauteur du deuxième étage… pendant qu’au pied de cet engin (du 4ème type), un autre lui tient compagnie et daigne expliquer, peu courtoisement, ce qu’il en est.
L’on comprend vite pourquoi tant d’arrogance, de morgue, de suffisance: ils oeuvrent pour la MAAAirie de Paris !
Monsieur Bertrand leur a confié pour mission d’enguirlander la rue. Pas précisément eux, d’autres qui reviendront (quelle nuit ?) avec des boules, des étoiles, des guirlandes, des angelots, etc.
Le Delanocif de l’Hôtel de ville !
Ainsi, le Festivus festivus de l’Hôtel de ville, non content de dilapider l’argent des contribuables en invraisemblables odes à la capoeira, au sable, au Voguéo, au Vélib, à l’Autolib, aux ludobarges, en nuits blanches, roses ou polychromes… Le Delanocif qui bloque les bords de Seine et souvent Paris, à des fins de ludisme au plus-que-parfait de son subjectif subjonctif... Notre DrAAAme de Paris ose, en plus, par ouvriers interposés, venir nous secouer, nous réveiller, voire tenter de nous complexer de ne pas être prêts à aller bringuer, voire de ne pas y être déja !
Comme si pour payer ses, innombrables et ruineux, delirium tremens, il ne fallait pas en plus se reposer, pour mieux bosser le lendemain.
Et quand on sait que jouer du foret (avec un perceuse spécial façade), à 22 h30, est en plus facturé au tarif de nuit…
Delanouba !
Contrairement à Bertrand Delanouba, nous, les after, on les arrête vers 21 h et nos enfants avec. Delanocif l’ignore… mais le matin, les enfants vont en classe et donc se couchent tôt !
Et parfois, leurs parents aussi… Qui lui a réclamé de décoïster la rue ?`
Son sens paroxystique, inné et intrinsèque, de la fiesta ?
Comme pour tout un chacun, Noël se passe au pied d’un sapin adorné, à l’intérieur et la Saint Sylvestre, quelque part, bien au chaud. Donc, ces immondes enguirlandages de ruelles montmartroises (et d’ailleurs), nous en avons que faire !
Et si d’aucuns en étaient satisfaits, il sont devenus fous furieux qu’au nom du grand Maître de la cité, l’on vienne troubler leur sitcom, leur soirée, leur sommeil, leur vie !
Delanéron !
Bertrand Delanéron, les Parisiens vous ont confié (à tort!) la gestion de l’une des plus belles capitales du monde.
Et par vos politiques, irréfléchies, dispendieuses, incendiaires, vous la démolissez, la saccagez, la ridiculisez et la videz de ses habitants… En homme orchestre de la communic’action, vous improvisez tout à coups de copystratégies, de RP, d’opérations de marketing direct et indirect, de copinages divers et variés, de préférence, en engloutissant des budgets fastueux, d’autant plus et mieux, en pleine période de crise…
Delanéron, une ville se gère tout d’abord avec passion, respect, générosité, intelligence, pragmatisme, Honnêteté… et une dimension que vous méprisez totalement : le respect de ceux qui parviennent encore à vous y survivre !
L’on ne devient pas maire pour s’offrir, aux frais du contribuable,10 ans de, calamiteux et ridicules, spots de pub, ininterrompus, diurnes et nocturnes, en panégyrique préalable à ce que vous aspirez devenir votre Gloire.
Et demain, pour qui reprendra Lutèce, sera, pour vous, bien pire qu’un Alésia !
Bonnes dé-fêtes !"
Bravo Henri, c'est bien dit !
22 h30, un soir de semaine, un petit immeuble montmartrois, d'une petite rue des Abbesses, somnole déjà…
Tout à coup, sa façade se réveille en sursaut !
Montmartre s’effondre et ses carrières avec ? Un bruit aussi puissant qu’étrange secoue le second étage plus que les autres… Les étages se téléphonent, les plus courageux sortent affronter la froidure, pour voir, savoir, comprendre… ou filer avant la catastrophe (?).
Et là !
Avec Bertrand de la Mairie, tout est permis !
Perché sur une sorte d’échelle-grue, s’offre le spectacle hallucinant d’un monsieur forant le mur de façade à hauteur du deuxième étage… pendant qu’au pied de cet engin (du 4ème type), un autre lui tient compagnie et daigne expliquer, peu courtoisement, ce qu’il en est.
L’on comprend vite pourquoi tant d’arrogance, de morgue, de suffisance: ils oeuvrent pour la MAAAirie de Paris !
Monsieur Bertrand leur a confié pour mission d’enguirlander la rue. Pas précisément eux, d’autres qui reviendront (quelle nuit ?) avec des boules, des étoiles, des guirlandes, des angelots, etc.
Le Delanocif de l’Hôtel de ville !
Ainsi, le Festivus festivus de l’Hôtel de ville, non content de dilapider l’argent des contribuables en invraisemblables odes à la capoeira, au sable, au Voguéo, au Vélib, à l’Autolib, aux ludobarges, en nuits blanches, roses ou polychromes… Le Delanocif qui bloque les bords de Seine et souvent Paris, à des fins de ludisme au plus-que-parfait de son subjectif subjonctif... Notre DrAAAme de Paris ose, en plus, par ouvriers interposés, venir nous secouer, nous réveiller, voire tenter de nous complexer de ne pas être prêts à aller bringuer, voire de ne pas y être déja !
Comme si pour payer ses, innombrables et ruineux, delirium tremens, il ne fallait pas en plus se reposer, pour mieux bosser le lendemain.
Et quand on sait que jouer du foret (avec un perceuse spécial façade), à 22 h30, est en plus facturé au tarif de nuit…
Delanouba !
Contrairement à Bertrand Delanouba, nous, les after, on les arrête vers 21 h et nos enfants avec. Delanocif l’ignore… mais le matin, les enfants vont en classe et donc se couchent tôt !
Et parfois, leurs parents aussi… Qui lui a réclamé de décoïster la rue ?`
Son sens paroxystique, inné et intrinsèque, de la fiesta ?
Comme pour tout un chacun, Noël se passe au pied d’un sapin adorné, à l’intérieur et la Saint Sylvestre, quelque part, bien au chaud. Donc, ces immondes enguirlandages de ruelles montmartroises (et d’ailleurs), nous en avons que faire !
Et si d’aucuns en étaient satisfaits, il sont devenus fous furieux qu’au nom du grand Maître de la cité, l’on vienne troubler leur sitcom, leur soirée, leur sommeil, leur vie !
Delanéron !
Bertrand Delanéron, les Parisiens vous ont confié (à tort!) la gestion de l’une des plus belles capitales du monde.
Et par vos politiques, irréfléchies, dispendieuses, incendiaires, vous la démolissez, la saccagez, la ridiculisez et la videz de ses habitants… En homme orchestre de la communic’action, vous improvisez tout à coups de copystratégies, de RP, d’opérations de marketing direct et indirect, de copinages divers et variés, de préférence, en engloutissant des budgets fastueux, d’autant plus et mieux, en pleine période de crise…
Delanéron, une ville se gère tout d’abord avec passion, respect, générosité, intelligence, pragmatisme, Honnêteté… et une dimension que vous méprisez totalement : le respect de ceux qui parviennent encore à vous y survivre !
L’on ne devient pas maire pour s’offrir, aux frais du contribuable,10 ans de, calamiteux et ridicules, spots de pub, ininterrompus, diurnes et nocturnes, en panégyrique préalable à ce que vous aspirez devenir votre Gloire.
Et demain, pour qui reprendra Lutèce, sera, pour vous, bien pire qu’un Alésia !
Bonnes dé-fêtes !"
Bravo Henri, c'est bien dit !