Mensonge, Trahison, Mépris !
L’association Accomplir semble avoir enfin pris la mesure de l’entourloupe dont elle est la victime dans l’affaire des Halles. Plutôt que clarté, courage et créativité, ce sont donc mensonge, trahison et mépris qu’elle retient pour qualifier l’attitude du maire. A la réflexion, cela ferait un beau titre pour une contribution, et singulièrement plus proche de la réalité. Je vous laisse découvrir (ici ce qui provoque cette fureur.
Deux mots, en passant, sur le dernier état des manœuvres au P.S. Conscient que sa campagne est un bide retentissant, avec des publics squelettiques dans ses tournées de province, Delanoë a d’abord renoncé à parler de libéralisme. Voilà maintenant, qu’après avoir insisté sur le nécessaire leadership du parti, il évoque une direction collégiale et un travail d’équipe.
La ficelle est grosse. Ne parvenant pas à s’imposer d’emblée malgré ses appuis dans les médias, il tente de faire profil bas et d’obtenir par la ruse ce qu’il n’a pas eu de force. Collégialité bien ordonnée commencerait évidemment par lui-même. Il est peu probable que ses concurrents tombent dans le panneau. A ceux qui seraient tentés de se laisser convaincre, rappelons simplement que cet adepte du jeu collectif fut le premier à faire déposer un nom de domaine : « Delanoë 2012 », en vue de la présidentielle, bien avant même celle de 2007.
A ce rythme en tous cas, il lui faudra bientôt réduire encore la voilure de ses prétentions et se contenter d’une sorte de directoire où il espèrera tirer son épingle du jeu dans les quatre ans qui viennent. Dur, dur …
L’association Accomplir semble avoir enfin pris la mesure de l’entourloupe dont elle est la victime dans l’affaire des Halles. Plutôt que clarté, courage et créativité, ce sont donc mensonge, trahison et mépris qu’elle retient pour qualifier l’attitude du maire. A la réflexion, cela ferait un beau titre pour une contribution, et singulièrement plus proche de la réalité. Je vous laisse découvrir (ici ce qui provoque cette fureur.
Deux mots, en passant, sur le dernier état des manœuvres au P.S. Conscient que sa campagne est un bide retentissant, avec des publics squelettiques dans ses tournées de province, Delanoë a d’abord renoncé à parler de libéralisme. Voilà maintenant, qu’après avoir insisté sur le nécessaire leadership du parti, il évoque une direction collégiale et un travail d’équipe.
La ficelle est grosse. Ne parvenant pas à s’imposer d’emblée malgré ses appuis dans les médias, il tente de faire profil bas et d’obtenir par la ruse ce qu’il n’a pas eu de force. Collégialité bien ordonnée commencerait évidemment par lui-même. Il est peu probable que ses concurrents tombent dans le panneau. A ceux qui seraient tentés de se laisser convaincre, rappelons simplement que cet adepte du jeu collectif fut le premier à faire déposer un nom de domaine : « Delanoë 2012 », en vue de la présidentielle, bien avant même celle de 2007.
A ce rythme en tous cas, il lui faudra bientôt réduire encore la voilure de ses prétentions et se contenter d’une sorte de directoire où il espèrera tirer son épingle du jeu dans les quatre ans qui viennent. Dur, dur …