Celui là, il ne s'y attendait pas !
Si la vente du siège des Affaires Culturelles se réalise, cela fera une victime !
Il manque 400 millions d’euros dans les caisses de la Mairie de Paris pour boucler son budget. La maire de la capitale, Anne Hidalgo, est donc confrontée à des marges de manœuvre budgétaires d'autant plus étroites qu'elle s'est engagée à ne pas augmenter les impôts pendant toute la mandature et qu'elle redoute une baisse de 600 millions d'euros en trois ans des dotations de l'Etat. Autant de raisons qui justifient d'augmenter les cessions d'« actifs immobiliers non stratégiques », dit-on à l’Hôtel de Ville.
Ainsi le journal « Le Monde » nous apprend que l'exécutif municipal a mis à l'étude la vente de l'hôtel d'Albret et de l'hôtel de Coulanges, situés rue des Franc-bourgeois (IVe). Deux bâtiments du XVIIe et XVIIIe siècle, classés monuments historiques.
Une vente qui pourrait bien concerner les personnels des bibliothèques, des conservatoires et ateliers beaux-arts de la capitale car l’Hôtel d’Albret est tout simplement le siège de la Direction des Affaires Culturelles de la Ville de Paris alors que de son côté, l’Hôtel de Coulanges abrite de nombreux services, dont ceux de la DRH.
Mais alors, où iraient-ils ? Certaines sources (très bien informées) parlent d’un déménagement vers…. Boulogne ! Selon plusieurs sources, ce serait assez loin du métro (assez loin de tout, en fait). Une mauvaise nouvelle pour les personnels administratifs qui travaillent pour la Direction des Affaires Culturelles et pour ceux qui auront besoin de leurs services.
En tout cas, une chose est sûre, si la vente du siège des affaires culturelles se réalise, cela fera une victime et pas des moindre. En effet depuis quelques semaines, une figure politique de la vie parisienne a pris ses quartiers à l’Hôtel d’Albret, il s’agit rien moins que …Bertrand Delanoë qui bénéficie d’un bureau et d’un secrétariat à l'issue d'un vote très contesté au Conseil de Paris. La vente de l’immeuble de la rue des franc-bourgeois serait, incontestablement, un signe de défiance de la part d’Anne Hidalgo envers celui qui lui a cédé son fauteuil !
Lire aussi ICI.
Autre chose, la vente de ces bijoux de famille signifie que la mairie est plutôt dans la dèche et que par conséquent l’ouverture du dimanche des services municipaux, en particulier les bibliothèques, devra immanquablement être abandonnée faute de moyens.
Il manque 400 millions d’euros dans les caisses de la Mairie de Paris pour boucler son budget. La maire de la capitale, Anne Hidalgo, est donc confrontée à des marges de manœuvre budgétaires d'autant plus étroites qu'elle s'est engagée à ne pas augmenter les impôts pendant toute la mandature et qu'elle redoute une baisse de 600 millions d'euros en trois ans des dotations de l'Etat. Autant de raisons qui justifient d'augmenter les cessions d'« actifs immobiliers non stratégiques », dit-on à l’Hôtel de Ville.
Ainsi le journal « Le Monde » nous apprend que l'exécutif municipal a mis à l'étude la vente de l'hôtel d'Albret et de l'hôtel de Coulanges, situés rue des Franc-bourgeois (IVe). Deux bâtiments du XVIIe et XVIIIe siècle, classés monuments historiques.
Une vente qui pourrait bien concerner les personnels des bibliothèques, des conservatoires et ateliers beaux-arts de la capitale car l’Hôtel d’Albret est tout simplement le siège de la Direction des Affaires Culturelles de la Ville de Paris alors que de son côté, l’Hôtel de Coulanges abrite de nombreux services, dont ceux de la DRH.
Mais alors, où iraient-ils ? Certaines sources (très bien informées) parlent d’un déménagement vers…. Boulogne ! Selon plusieurs sources, ce serait assez loin du métro (assez loin de tout, en fait). Une mauvaise nouvelle pour les personnels administratifs qui travaillent pour la Direction des Affaires Culturelles et pour ceux qui auront besoin de leurs services.
En tout cas, une chose est sûre, si la vente du siège des affaires culturelles se réalise, cela fera une victime et pas des moindre. En effet depuis quelques semaines, une figure politique de la vie parisienne a pris ses quartiers à l’Hôtel d’Albret, il s’agit rien moins que …Bertrand Delanoë qui bénéficie d’un bureau et d’un secrétariat à l'issue d'un vote très contesté au Conseil de Paris. La vente de l’immeuble de la rue des franc-bourgeois serait, incontestablement, un signe de défiance de la part d’Anne Hidalgo envers celui qui lui a cédé son fauteuil !
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Autre chose, la vente de ces bijoux de famille signifie que la mairie est plutôt dans la dèche et que par conséquent l’ouverture du dimanche des services municipaux, en particulier les bibliothèques, devra immanquablement être abandonnée faute de moyens.