Normalement, chacun en conviendra, une subvention municipale est destinée à accompagner une association dans son action et son développement.
Ici, rien de tel. Malgré les 100.000 euros alloués annuellement par la mairie à cette énième association à vocation culturelle, installée dans l'ancien couvent des Récollets, son bilan est à ce point décevant qu'elle a décidé de cesser ses activités. Que croyez-vous que la mairie en tire comme conclusion ? Elle augmente la subvention, la faisant passer à 150.000 euros, pour l'aider à disparaître dans la dignité en quelque sorte !
Mais, elle ne fait ainsi que venir en aide aux créanciers de l'association au détriment des contribuables parisiens. Quand une structure disparaît, qu'elle soit publique ou privée, il est pourtant normal que ses créanciers prennent leur pertes et leur part du sinistre. Ici, c'est à nouveau la mairie qui paie les pots cassés ! Cette subvention littéralement à fonds perdus constitue une nouvelle innovation dans la gabegie clientéliste qui règne à Paris dans ce domaine.
Ici, rien de tel. Malgré les 100.000 euros alloués annuellement par la mairie à cette énième association à vocation culturelle, installée dans l'ancien couvent des Récollets, son bilan est à ce point décevant qu'elle a décidé de cesser ses activités. Que croyez-vous que la mairie en tire comme conclusion ? Elle augmente la subvention, la faisant passer à 150.000 euros, pour l'aider à disparaître dans la dignité en quelque sorte !
Mais, elle ne fait ainsi que venir en aide aux créanciers de l'association au détriment des contribuables parisiens. Quand une structure disparaît, qu'elle soit publique ou privée, il est pourtant normal que ses créanciers prennent leur pertes et leur part du sinistre. Ici, c'est à nouveau la mairie qui paie les pots cassés ! Cette subvention littéralement à fonds perdus constitue une nouvelle innovation dans la gabegie clientéliste qui règne à Paris dans ce domaine.