Dans cette affaire tibétaine, Delanoë a autant de positions que Bouddha a d’avatars.
Le Figaro nous a appris dans son édition du 28 févier que le maire a téléphoné au président de la république pour lui faire part de ses regrets d’avoir provoqué une crise diplomatique avec la Chine. Nicolas Sarkozy l’aurait aussitôt fait savoir à différents émissaires en Chine pour tenter de calmer le jeu.
Bien. Ce serait un signe suffisamment rare d’humilité chez Delanoë pour qu’il soit noté.
Hélas, dès le lendemain, le maire dément l’information. La repentance est un exercice difficile…
Dans le même registre, on apprend que Delanoë a refusé de faire partie du voyage présidentiel en Tunisie. Prétexte : un emploi du temps trop chargé. Réalité : il craignait les critiques sur le thème des droits de l’homme. Ce cas de conscience n’empêche pas Delanoë d’être propriétaire en Tunisie et d’y passer ses vacances depuis de nombreuses années.
Ah, au fait, selon le Parisien : Delanoë a demandé que son refus de se rendre en Tunisie ne soit pas rendu public. Et là, toujours pas de démenti...
Enfin, pour la bonne bouche, un lecteur ch’ti nous a signalé un article de la « Voix du Nord » du 4 mai qui a forcément échappé à l’attention des Parisiens. Nous ne bouderons pas notre plaisir en vous le transcrivant.
Star System
« Eh m’sieur ! J’vous ai vu à la télé, mais je m’rappelle pu vot’nom… » La scène se passe en gare d’Arras sur le coup de 17 heures. Interpellé par cette jeune fille à la fenêtre de son véhicule, Bertrand Delanoë ne se démonte pas : « Ah ouais, tu as dû me voir dans une vieille série télé ! » Estimant sans doute qu’il avait répondu à sa question, la tête de la jeune fille disparaît aussi sec dans la voiture. Fin de l’épisode ? Non. Son visage réapparaît : « Si, ça y est ! Vous vous appelez Delanoë … Mais je ne sais plus dans quoi je vous ai vu ! »
Question notoriété nationale, il va falloir travailler. Le bouquin de Joffrin permettra-il à l’inconnu du Nord express de se faire reconnaître au-delà du Boboland ?
Le Figaro nous a appris dans son édition du 28 févier que le maire a téléphoné au président de la république pour lui faire part de ses regrets d’avoir provoqué une crise diplomatique avec la Chine. Nicolas Sarkozy l’aurait aussitôt fait savoir à différents émissaires en Chine pour tenter de calmer le jeu.
Bien. Ce serait un signe suffisamment rare d’humilité chez Delanoë pour qu’il soit noté.
Hélas, dès le lendemain, le maire dément l’information. La repentance est un exercice difficile…
Dans le même registre, on apprend que Delanoë a refusé de faire partie du voyage présidentiel en Tunisie. Prétexte : un emploi du temps trop chargé. Réalité : il craignait les critiques sur le thème des droits de l’homme. Ce cas de conscience n’empêche pas Delanoë d’être propriétaire en Tunisie et d’y passer ses vacances depuis de nombreuses années.
Ah, au fait, selon le Parisien : Delanoë a demandé que son refus de se rendre en Tunisie ne soit pas rendu public. Et là, toujours pas de démenti...
Enfin, pour la bonne bouche, un lecteur ch’ti nous a signalé un article de la « Voix du Nord » du 4 mai qui a forcément échappé à l’attention des Parisiens. Nous ne bouderons pas notre plaisir en vous le transcrivant.
Star System
« Eh m’sieur ! J’vous ai vu à la télé, mais je m’rappelle pu vot’nom… » La scène se passe en gare d’Arras sur le coup de 17 heures. Interpellé par cette jeune fille à la fenêtre de son véhicule, Bertrand Delanoë ne se démonte pas : « Ah ouais, tu as dû me voir dans une vieille série télé ! » Estimant sans doute qu’il avait répondu à sa question, la tête de la jeune fille disparaît aussi sec dans la voiture. Fin de l’épisode ? Non. Son visage réapparaît : « Si, ça y est ! Vous vous appelez Delanoë … Mais je ne sais plus dans quoi je vous ai vu ! »
Question notoriété nationale, il va falloir travailler. Le bouquin de Joffrin permettra-il à l’inconnu du Nord express de se faire reconnaître au-delà du Boboland ?