Tout à son souci de faire oublier ses errements sociaux-libéraux du début de campagne, Delanoë est passé au stade actif : il « démolit le libéralisme économique », a-t-il révélé lors d’un bref passage à Lille. Mazette ! Les 25 millions de Français employés dans le secteur privé ont intérêt à le surveiller du coin de l’œil, ce bulldozer.
Inutile de chercher à lui faire une piqûre de rappel des rudiments du marxisme comme de ceux du libéralisme, à savoir qu’on ne peut dissocier un régime politique de son fondement économique. Se prétendre « combattant de la liberté » et empêcher les individus d'agir librement dans la sphère économique en « démolissant » le système qui le leur permet est une posture qui fait craindre la rupture de ligaments.
Bien sûr, il ne s’agissait que de démagogie grossière d’avant-congrès. Ce dérapage est la preuve que la nervosité augmente dans son camp face aux surenchères d’Aubry et Hamon. Pour le calmer, délivrons lui donc pour la deuxième fois notre prestigieuse Truffe de plumes. Brandie devant les militants, elle devrait bien lui valoir 0,0000 5 % de plus au congrès de Reims.
Inutile de chercher à lui faire une piqûre de rappel des rudiments du marxisme comme de ceux du libéralisme, à savoir qu’on ne peut dissocier un régime politique de son fondement économique. Se prétendre « combattant de la liberté » et empêcher les individus d'agir librement dans la sphère économique en « démolissant » le système qui le leur permet est une posture qui fait craindre la rupture de ligaments.
Bien sûr, il ne s’agissait que de démagogie grossière d’avant-congrès. Ce dérapage est la preuve que la nervosité augmente dans son camp face aux surenchères d’Aubry et Hamon. Pour le calmer, délivrons lui donc pour la deuxième fois notre prestigieuse Truffe de plumes. Brandie devant les militants, elle devrait bien lui valoir 0,0000 5 % de plus au congrès de Reims.