Estimant que ses stocks sont pleins et sans vraiment chercher à les conserver ou, au moins, les céder à titre onéreux ou même gratuit, la Bibliothèque historique de la ville a procédé à une forme pour le moins radicale de déstockage : la mise à la benne à ordures de milliers d'ouvrages, dont certains anciens !
Le "Tribune de l'art" a enquêté sur les faits et démonté point par point la version officielle servie par la ville et son établissement qui prétextent un manque de place. Vous découvrirez cet édifiant article en cliquant ici.
Une nouvelle et brillante démonstration de ce qu'est la politique culturelle municipale : de l'argent pour l'événementiel et l'esbroufe médiatique, rien ou peu pour les problèmes de fond. On vante la lecture d'un coté pour détruire des livres de l'autre parce qu'on n'a pas de place pour les conserver. Quand on pense qu'un tel savoir-faire ne sera pas recyclé au ministère de la culture, on est vraiment déçu pour la république.
Le "Tribune de l'art" a enquêté sur les faits et démonté point par point la version officielle servie par la ville et son établissement qui prétextent un manque de place. Vous découvrirez cet édifiant article en cliquant ici.
Une nouvelle et brillante démonstration de ce qu'est la politique culturelle municipale : de l'argent pour l'événementiel et l'esbroufe médiatique, rien ou peu pour les problèmes de fond. On vante la lecture d'un coté pour détruire des livres de l'autre parce qu'on n'a pas de place pour les conserver. Quand on pense qu'un tel savoir-faire ne sera pas recyclé au ministère de la culture, on est vraiment déçu pour la république.