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UN MINI EDWIGE A LA VILLE DE PARIS !
Au cours de l’été 2008, la polémique a été vive suite au projet de création par le gouvernement du nouveau fichier « Edwige ».
Il y a quelques semaines le syndicat parisien SUPAP-FSU a découvert l’existence d’un fichier comparable à la Direction des Parcs et Jardins. L’existence de ce fameux fichier parait d’autant plus étonnante que le Maire de Paris, Bertrand Delanoë, est apparu comme un opposant décidé a l’existence de ce genre de fichage.
Ce fichier municipal, ancien maintenant de plusieurs années, contient de nombreuses informations relatives à la vie privée d’environ 750 employés municipaux, les personnels de la surveillance des espaces verts et des cimetières parisiens.
Un certain nombre de responsables hiérarchiques ont ainsi accès à des données familiales, médicales, et d’autres informations devant normalement rester confidentielles.
Le syndicat SUPAP-FSU ne recevant aucune réponse de la part de la municipalité, a décidé de saisir les élus du Conseil de Paris sur l’existence d’un tel fichier.
Après le fichier « Stic » au ministère de l’intérieur, la création du fichier « Edwige » par le gouvernement, la Ville de Paris invente ainsi un nouveau fichier de surveillance de certain de ces personnels appellent déjà le « Mini Edwige »."
Décidément, il va devenir de plus en plus difficile à la mairie de donner des leçons de morale à qui que ce soit ...
UN MINI EDWIGE A LA VILLE DE PARIS !
Au cours de l’été 2008, la polémique a été vive suite au projet de création par le gouvernement du nouveau fichier « Edwige ».
Il y a quelques semaines le syndicat parisien SUPAP-FSU a découvert l’existence d’un fichier comparable à la Direction des Parcs et Jardins. L’existence de ce fameux fichier parait d’autant plus étonnante que le Maire de Paris, Bertrand Delanoë, est apparu comme un opposant décidé a l’existence de ce genre de fichage.
Ce fichier municipal, ancien maintenant de plusieurs années, contient de nombreuses informations relatives à la vie privée d’environ 750 employés municipaux, les personnels de la surveillance des espaces verts et des cimetières parisiens.
Un certain nombre de responsables hiérarchiques ont ainsi accès à des données familiales, médicales, et d’autres informations devant normalement rester confidentielles.
Le syndicat SUPAP-FSU ne recevant aucune réponse de la part de la municipalité, a décidé de saisir les élus du Conseil de Paris sur l’existence d’un tel fichier.
Après le fichier « Stic » au ministère de l’intérieur, la création du fichier « Edwige » par le gouvernement, la Ville de Paris invente ainsi un nouveau fichier de surveillance de certain de ces personnels appellent déjà le « Mini Edwige »."
Décidément, il va devenir de plus en plus difficile à la mairie de donner des leçons de morale à qui que ce soit ...