"Après VéLib, AutoLib, voici maintenant .....WebLib ! Mais nous ne sommes pas des numéros, nous sommes des bibliothécaires "Lib" !
La Ville de Paris a décidé, sans concertation, la mise en place de « l’opération Weblib » dans six bibliothèques à partir du 1er mars.
Cette nouvelle mesure qui consiste à prêter des ordinateurs portables au public, va accroitre les tâches de service public (accompagnement, explication, prêt, gestion des conflits, recharge des batteries et gestion des problèmes informatiques) sans création de postes.
De plus, cette opération se fait au bénéfice d’une société à but commercial, ce qui ne concerne en rien les personnels des bibliothèques parisiennes. Devant le manque de poste informatique, de baisse des budgets, les personnels ne comprennent pas cette « expérimentation ».
Lorsque une modification des conditions de travail intervient (c’est le cas), la question doit être mis à l’ordre du jour du C.T.P. Si la DAC ne le fait pas, les organisations syndicales le feront elles-mêmes.
En attendant ce débat au CTP, les personnels refusent de s’associer à cette opération. Une pétition circule actuellement pour protester contre ce projet qui dégrade leurs conditions de travail et pour être reçus par la Directrice des Affaires Culturelles."
La Ville de Paris a décidé, sans concertation, la mise en place de « l’opération Weblib » dans six bibliothèques à partir du 1er mars.
Cette nouvelle mesure qui consiste à prêter des ordinateurs portables au public, va accroitre les tâches de service public (accompagnement, explication, prêt, gestion des conflits, recharge des batteries et gestion des problèmes informatiques) sans création de postes.
De plus, cette opération se fait au bénéfice d’une société à but commercial, ce qui ne concerne en rien les personnels des bibliothèques parisiennes. Devant le manque de poste informatique, de baisse des budgets, les personnels ne comprennent pas cette « expérimentation ».
Lorsque une modification des conditions de travail intervient (c’est le cas), la question doit être mis à l’ordre du jour du C.T.P. Si la DAC ne le fait pas, les organisations syndicales le feront elles-mêmes.
En attendant ce débat au CTP, les personnels refusent de s’associer à cette opération. Une pétition circule actuellement pour protester contre ce projet qui dégrade leurs conditions de travail et pour être reçus par la Directrice des Affaires Culturelles."