La CGT va saisir les tribunaux. La Ville de Paris va tout droit vers une (nouvelle) condamnation !
C’est un véritable plan social que prépare la Mairie de Paris.
Depuis quelques jours de nombreux agents municipaux se sont vu refuser une prolongation d’activité et vont être mis à la retraite d’office ! La plupart d’entre eux n’ayant pas validé tous leurs trimestres, ils ne pourront toucher une retraite complète. Certains ne percevront que 600 à 800 euros mensuels.
Cette décision touche de plein fouet les femmes qui, souvent, s’arrêtent plusieurs années ou travaillent à temps non complet pour élever leurs enfants.
Il y a quelques semaines des ordres ont été donnés par la haute administration parisienne aux médecins du travail pour que ces derniers déclarent « inaptes » tous les personnels municipaux qui feraient une demande de prolongation d’activité. Notre syndicat est d’ors et déjà en contact avec l’ordre national des médecins pour rappeler aux fautifs le code de déontologie adopté lors du serment d'Hippocrate.
De plus, la loi oblige l’employeur à proposer (sincèrement) un reclassement en cas de problème de santé. Dans le cas de la Mairie de Paris qui emploi 70.000 agents recouvrant des centaines de métier, ce reclassement va de soi.
Pour les cas où les agents remplissent malgré tout les critères et sont déclarés aptes, la municipalité parisienne, n’hésite pas à les envoyer également à la « retraite d’office ».
Cette mesure illégale, en plus d’être discriminatoire, va conduire tout droit la municipalité parisienne vers le tribunal administratif. Rappelons que la Ville de Paris vient d’essuyer de lourdes condamnations par le tribunal des Prud’hommes pour « emploi abusif » de contrats aidés. Elle peut donc préparer les oranges.
La CGT a déjà déposé les premiers dossiers, et de nombreux autres sont à venir, puisqu’un appel a été lancé aux personnels concernés.
lire la suite ICI.
La CGT ne comprends pas cette décision au moment même où l’administration parisienne souhaite la signature d’un accord cadre sur "le maintien des séniors dans l’emploi".
C’est un véritable plan social que prépare la Mairie de Paris.
Depuis quelques jours de nombreux agents municipaux se sont vu refuser une prolongation d’activité et vont être mis à la retraite d’office ! La plupart d’entre eux n’ayant pas validé tous leurs trimestres, ils ne pourront toucher une retraite complète. Certains ne percevront que 600 à 800 euros mensuels.
Cette décision touche de plein fouet les femmes qui, souvent, s’arrêtent plusieurs années ou travaillent à temps non complet pour élever leurs enfants.
Il y a quelques semaines des ordres ont été donnés par la haute administration parisienne aux médecins du travail pour que ces derniers déclarent « inaptes » tous les personnels municipaux qui feraient une demande de prolongation d’activité. Notre syndicat est d’ors et déjà en contact avec l’ordre national des médecins pour rappeler aux fautifs le code de déontologie adopté lors du serment d'Hippocrate.
De plus, la loi oblige l’employeur à proposer (sincèrement) un reclassement en cas de problème de santé. Dans le cas de la Mairie de Paris qui emploi 70.000 agents recouvrant des centaines de métier, ce reclassement va de soi.
Pour les cas où les agents remplissent malgré tout les critères et sont déclarés aptes, la municipalité parisienne, n’hésite pas à les envoyer également à la « retraite d’office ».
Cette mesure illégale, en plus d’être discriminatoire, va conduire tout droit la municipalité parisienne vers le tribunal administratif. Rappelons que la Ville de Paris vient d’essuyer de lourdes condamnations par le tribunal des Prud’hommes pour « emploi abusif » de contrats aidés. Elle peut donc préparer les oranges.
La CGT a déjà déposé les premiers dossiers, et de nombreux autres sont à venir, puisqu’un appel a été lancé aux personnels concernés.
lire la suite ICI.
La CGT ne comprends pas cette décision au moment même où l’administration parisienne souhaite la signature d’un accord cadre sur "le maintien des séniors dans l’emploi".