Avouons-le, Facebook a parfois un petit côté embrigadeur et "rotarien" légèrement agaçant. Mais on y découvre aussi des choses intéressantes, comme ces récits de deux personnes victimes, depuis des mois, de ce qu'elles considèrent comme un véritable harcèlement de la part de la mairie.
"
1er cas :
http://www.new.facebook.com/reqs.php#/group.php?gid=36286749198
Depuis plus de quatre ans, Nadine-Laure mène un combat contre l'administration
municipale parisienne. En effet, il y a quatre ans Nadine-laure a un accident du
travail qui lui handicap le bras droit. Depuis, malgré tous ses efforts pour s'en
sortir et ses diplômes universitaires (doctorat), on lui refuse le reclassement.
Elle ne serait pas, selon la mairie de Paris, apte à réfléchir mais trop
intelligente pour servir ses concitoyens.
Aucune réponse n'a été reçue venant Mr Delanoë ou de son administration. Cette femme
volontaire, motivée et dynamique se voit refuser l'un des droits les plus
fondamentaux : celui de pouvoir travailler.
L'attitude de l'administration parisienne est humiliante. Elle s'ajoute à
l'humiliation quotidienne d'affronter les regards et les rires des autres.
Cette attitude est discriminante et surtout déshumanisante. Elle décrédibilise le
discours d'un homme qui a une ambition nationale, un discours censé être humaniste
et tolérant, un discours d'un homme issu d'une longue tradition politique qu'il a
apparemment totalement oubliée.
Par ce groupe, je veux mobiliser un maximum de personnes pour que le combat de
Nadine-Laure ne soit pas vain, pour que tous ceux qui sont attachés au droit à la
dignité humaine affirment leur soutien à tous ceux qui comme elle mène ce combat.
2eme cas :
http://www.new.facebook.com/profile.php?id=716126610&v=app_2425101550&viewas=716126610#/group.php?gid=29597819226&ref=mf
Aurélie et ses parents, employés de la Mairie de Paris, vont être expulsés de leur
logement par celle-ci le 1er octobre, sans qu'aucune proposition de relogement ne
leur ait été faite.
Pour les contraindre à partir, la Mairie décide subitement de leur imputer un loyer
de 5000 € par mois (!), en leur disant que "si vous vous engagez à partir le 1er
octobre, on vous efface la dette".
Pour les réduire au silence, on leur dit qu'un nouveau logement leur serait proposé
s'ils se taisent et ne font pas appel à la presse.
Aujourd'hui, six mois et 30.000 € de "dette" plus tard, on ne leur a toujours rien
proposé.
Chers amis ! Accepterons-nous que la Mairie de Paris expulse ses propres employés
sans les reloger ? Accepterons-nous le chantage et les pressions ignobles que la
Mairie fait subir à ces employés pour les faire taire ?!
1) le logement où habitent Aurélie et ses parents est ce qu'on appelle un "logement
de fonction par nécessité absolue de service", ce qui signifie qu'en tant que
gardiens d'un immeuble administratif, ils devaient rester sur place 24 heures sur 24
et y être joignables à tout moment ;
2) ce logement était considéré comme un avantage en nature d'un montant de 550 €, à
comparer aux 5025 € de loyer qu'impute aujourd'hui la Mairie de Paris à ses employés
dont le salaire est par ailleurs de 1250 € nets par mois ;
3) le contrat de travail établi entre la Mairie et ses employés, dont découlait la
nécessité d'un logement de fonction, a été modifié unilatéralement par la Mairie de
Paris de façon à expulser la famille de locaux qu'elle veut employer à d'autres
fins. Le poste de gardien a été purement et simplement supprimé ;
4)aAucun nouvel emploi n'a été offert à la famille, si ce n'est, par oral ou par
lettre simple (quand la chose nécessite un arrêté), un autre poste de gardiennage où
la famille perdrait le bénéfice du logement. Ceci causerait une baisse injustifiée
des revenus de cette famille qui, au service de la Mairie depuis 21 ans, perçoit un
salaire de 1250 € par mois ;
5) l'affaire, qui a commencé il y a deux ans, montre que les employés municipaux ont
subi un véritable harcèlement moral de la part de la Mairie de Paris, harcèlement
d'autant plus traumatisant qu'il est verbal, donc difficile à établir.
"
Si vous êtes membres de Facebook, n'hésitez-pas à les contacter et, si leurs difficultés vous touchent, à leur apporter bien évidemment votre soutien.
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1er cas :
http://www.new.facebook.com/reqs.php#/group.php?gid=36286749198
Depuis plus de quatre ans, Nadine-Laure mène un combat contre l'administration
municipale parisienne. En effet, il y a quatre ans Nadine-laure a un accident du
travail qui lui handicap le bras droit. Depuis, malgré tous ses efforts pour s'en
sortir et ses diplômes universitaires (doctorat), on lui refuse le reclassement.
Elle ne serait pas, selon la mairie de Paris, apte à réfléchir mais trop
intelligente pour servir ses concitoyens.
Aucune réponse n'a été reçue venant Mr Delanoë ou de son administration. Cette femme
volontaire, motivée et dynamique se voit refuser l'un des droits les plus
fondamentaux : celui de pouvoir travailler.
L'attitude de l'administration parisienne est humiliante. Elle s'ajoute à
l'humiliation quotidienne d'affronter les regards et les rires des autres.
Cette attitude est discriminante et surtout déshumanisante. Elle décrédibilise le
discours d'un homme qui a une ambition nationale, un discours censé être humaniste
et tolérant, un discours d'un homme issu d'une longue tradition politique qu'il a
apparemment totalement oubliée.
Par ce groupe, je veux mobiliser un maximum de personnes pour que le combat de
Nadine-Laure ne soit pas vain, pour que tous ceux qui sont attachés au droit à la
dignité humaine affirment leur soutien à tous ceux qui comme elle mène ce combat.
2eme cas :
http://www.new.facebook.com/profile.php?id=716126610&v=app_2425101550&viewas=716126610#/group.php?gid=29597819226&ref=mf
Aurélie et ses parents, employés de la Mairie de Paris, vont être expulsés de leur
logement par celle-ci le 1er octobre, sans qu'aucune proposition de relogement ne
leur ait été faite.
Pour les contraindre à partir, la Mairie décide subitement de leur imputer un loyer
de 5000 € par mois (!), en leur disant que "si vous vous engagez à partir le 1er
octobre, on vous efface la dette".
Pour les réduire au silence, on leur dit qu'un nouveau logement leur serait proposé
s'ils se taisent et ne font pas appel à la presse.
Aujourd'hui, six mois et 30.000 € de "dette" plus tard, on ne leur a toujours rien
proposé.
Chers amis ! Accepterons-nous que la Mairie de Paris expulse ses propres employés
sans les reloger ? Accepterons-nous le chantage et les pressions ignobles que la
Mairie fait subir à ces employés pour les faire taire ?!
1) le logement où habitent Aurélie et ses parents est ce qu'on appelle un "logement
de fonction par nécessité absolue de service", ce qui signifie qu'en tant que
gardiens d'un immeuble administratif, ils devaient rester sur place 24 heures sur 24
et y être joignables à tout moment ;
2) ce logement était considéré comme un avantage en nature d'un montant de 550 €, à
comparer aux 5025 € de loyer qu'impute aujourd'hui la Mairie de Paris à ses employés
dont le salaire est par ailleurs de 1250 € nets par mois ;
3) le contrat de travail établi entre la Mairie et ses employés, dont découlait la
nécessité d'un logement de fonction, a été modifié unilatéralement par la Mairie de
Paris de façon à expulser la famille de locaux qu'elle veut employer à d'autres
fins. Le poste de gardien a été purement et simplement supprimé ;
4)aAucun nouvel emploi n'a été offert à la famille, si ce n'est, par oral ou par
lettre simple (quand la chose nécessite un arrêté), un autre poste de gardiennage où
la famille perdrait le bénéfice du logement. Ceci causerait une baisse injustifiée
des revenus de cette famille qui, au service de la Mairie depuis 21 ans, perçoit un
salaire de 1250 € par mois ;
5) l'affaire, qui a commencé il y a deux ans, montre que les employés municipaux ont
subi un véritable harcèlement moral de la part de la Mairie de Paris, harcèlement
d'autant plus traumatisant qu'il est verbal, donc difficile à établir.
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Si vous êtes membres de Facebook, n'hésitez-pas à les contacter et, si leurs difficultés vous touchent, à leur apporter bien évidemment votre soutien.