L'amère de Paris est une chatte qui s'est endormie sur son moi brûlant ! Plutôt que de chasser la guimbarde fumante du Parisien fauché qui se débat dans la ratatouille, elle aurait mieux fait de s'inquiéter des alertes lancées par le perspicace Delanopolis depuis de nombreuses années : lire ICI.
En complément de cet article prémonitoire, Mouloud s'était alors à l'époque d'un commentaire d'alerte :
"2.Posté par Mouloud le flûtiste du Hameln le 19/12/2012 18:09
Il n'est que de se promener, la nuit tombée, dans les dédales du champ de Mars parisien (en étant bien armé car la faune bipède y est parfois inquiétante) pour voir des nuées de gaspards gras à souhait, le poil soyeux et la moustache en alerte, se prélasser, comme DSK avec souris en Sofitel, dans les bacs à sable de nos chères têtes blondes et brunes ; y grignoter avec bonheur les reliefs nutéliens des biscuits à l'huile de palme abandonnés par les bambins sur-nourris, puis s'y rouler de plaisirs interdits et enfin d'y déféquer avant de s'en retourner potron-minet (si je puis dire sans les effrayer) , bombance et toilette faites, dans leur nids familiaux douillets, sous les frondaisons du parc... Parents, ne laissez pas vos petits jouer dans ces bouillons de culture que sont les bacs à sable parisiens !
Interrogez les jardiniers municipaux ; à mots couverts ils vous diront la vérité sur ces amis du maire, oubliés à tort d'ailleurs sur les belles affiches vantant la diversité de la faune parisienne. Ils en sont pourtant les premiers représentants et mériteraient donc d'y être bien représentés et célébrés."
Fin 2016, faute d'avoir agi en temps utiles pour contenir l'invasion inouïe des rats qui pullulent et qui va de conserve (sic) avec la catastrophique malpropreté de la capitale, la municipalité panique et ferme les parcs et jardins parisiens. Encore un bel exemple de gestion exemplaire de cette ville à vau-l'eau.
En complément de cet article prémonitoire, Mouloud s'était alors à l'époque d'un commentaire d'alerte :
"2.Posté par Mouloud le flûtiste du Hameln le 19/12/2012 18:09
Il n'est que de se promener, la nuit tombée, dans les dédales du champ de Mars parisien (en étant bien armé car la faune bipède y est parfois inquiétante) pour voir des nuées de gaspards gras à souhait, le poil soyeux et la moustache en alerte, se prélasser, comme DSK avec souris en Sofitel, dans les bacs à sable de nos chères têtes blondes et brunes ; y grignoter avec bonheur les reliefs nutéliens des biscuits à l'huile de palme abandonnés par les bambins sur-nourris, puis s'y rouler de plaisirs interdits et enfin d'y déféquer avant de s'en retourner potron-minet (si je puis dire sans les effrayer) , bombance et toilette faites, dans leur nids familiaux douillets, sous les frondaisons du parc... Parents, ne laissez pas vos petits jouer dans ces bouillons de culture que sont les bacs à sable parisiens !
Interrogez les jardiniers municipaux ; à mots couverts ils vous diront la vérité sur ces amis du maire, oubliés à tort d'ailleurs sur les belles affiches vantant la diversité de la faune parisienne. Ils en sont pourtant les premiers représentants et mériteraient donc d'y être bien représentés et célébrés."
Fin 2016, faute d'avoir agi en temps utiles pour contenir l'invasion inouïe des rats qui pullulent et qui va de conserve (sic) avec la catastrophique malpropreté de la capitale, la municipalité panique et ferme les parcs et jardins parisiens. Encore un bel exemple de gestion exemplaire de cette ville à vau-l'eau.