GREVE DES DIRECTRICES ET ADJOINTES DES CRECHES !
le 1er février
Les responsables et adjointes des établissements de la Petite Enfance en ont ras le bol de la dégradation de leurs conditions de travail et de n'être considéré-e-s que comme "des gestionnaires" de la pénurie de moyens.
Leurs principales missions d'accueil des familles et d'accompagnement des équipes pluridisciplinaires se voient supplantées par des tâches administratives, de plus en plus nombreuses. Le manque de moyens alloués à la petite enfance remet en cause le bon fonctionnement des établissements. Le sous-effectif permanent est générateur de tensions et d’épuisement pour l’ensemble des équipes.
Les projets de la responsable et de son équipe sont quotidiennement remis en cause.
Comment dans ces conditions respecter la « Charte d’Accueil », engagée par la municipalité parisienne et les projets d’établissements élaborés par les équipes ?
Comment est-il possible de se centrer sur la bien-traitance des enfants accueillis dans de telles conditions ?
La municipalité reste sourde aux demandes des personnels. Ouvrira-t-elle les établissements le 1er février sans responsables et adjointes ?"
Que voilà de bonnes questions ! Et devinez les réponses delanoesques ?
le 1er février
Les responsables et adjointes des établissements de la Petite Enfance en ont ras le bol de la dégradation de leurs conditions de travail et de n'être considéré-e-s que comme "des gestionnaires" de la pénurie de moyens.
Leurs principales missions d'accueil des familles et d'accompagnement des équipes pluridisciplinaires se voient supplantées par des tâches administratives, de plus en plus nombreuses. Le manque de moyens alloués à la petite enfance remet en cause le bon fonctionnement des établissements. Le sous-effectif permanent est générateur de tensions et d’épuisement pour l’ensemble des équipes.
Les projets de la responsable et de son équipe sont quotidiennement remis en cause.
Comment dans ces conditions respecter la « Charte d’Accueil », engagée par la municipalité parisienne et les projets d’établissements élaborés par les équipes ?
Comment est-il possible de se centrer sur la bien-traitance des enfants accueillis dans de telles conditions ?
La municipalité reste sourde aux demandes des personnels. Ouvrira-t-elle les établissements le 1er février sans responsables et adjointes ?"
Que voilà de bonnes questions ! Et devinez les réponses delanoesques ?