C'était dur à croire mais en cliquant ici vous le constaterez comme nous. Oui, c'est bien de Serge Federbusch dont Girard vante la prose "caricaturale mais drôle" !
Aussitôt contacté, ce traître de Federbusch a tenté de se justifier. "Je n'y suis pour rien ! C'est une technique de com' à la mode" a-t-il osé, "vous faites semblant de vous situer au-dessus de la mêlée et de vous montrer tolérant mais vous qualifiez au passage les critiques, pourtant largement étayées de faits et chiffres, d'aimables exagérations".
Taratata ! Nous n'admettons aucune excuse de ce type. Comme on le disait autrefois au "Canard enchaîné" à propos d'une décoration désirée par beaucoup : "il ne suffit pas de ne pas l'avoir demandée, il faut ne pas l'avoir méritée".
La sentence est donc tombée : Federbusch devra désormais se montrer intraitable avec ledit Girard s'il veut se faire pardonner. Qu'il se le dise !
Aussitôt contacté, ce traître de Federbusch a tenté de se justifier. "Je n'y suis pour rien ! C'est une technique de com' à la mode" a-t-il osé, "vous faites semblant de vous situer au-dessus de la mêlée et de vous montrer tolérant mais vous qualifiez au passage les critiques, pourtant largement étayées de faits et chiffres, d'aimables exagérations".
Taratata ! Nous n'admettons aucune excuse de ce type. Comme on le disait autrefois au "Canard enchaîné" à propos d'une décoration désirée par beaucoup : "il ne suffit pas de ne pas l'avoir demandée, il faut ne pas l'avoir méritée".
La sentence est donc tombée : Federbusch devra désormais se montrer intraitable avec ledit Girard s'il veut se faire pardonner. Qu'il se le dise !