La presse, cette semaine, est unanime : un marchandage a eu lieu lors d'un déjeuner élyséen la semaine dernière.
D'un côté, Sarkozy, via Borloo, a autorisé la poursuite du projet Jean Bouin en permettant le pseudo relogement des sportifs scolaires et amateurs sur la pelouse d'Auteuil.
De l'autre, Delanoë accepte de participer à l'Atelier international pour le Grand Paris.
Tout comme Huchon qui lui, au passage, a vu son projet de SDRIF malthusien ( voir ici) débloqué par le gouvernement.
Ce pas de trois fait penser à un bal de faux-culs car ni Delanoë ni Huchon ne veulent du Grand Paris qui menaceraient leurs baronnies de petits politiciens locaux. Ils vont essayer d'encaisser cash Jean Bouin et le SDRIF et de payer leur écot en monnaie de singe. Les prétextes ne manqueront pas pour tenter d'enrayer plus tard les ambitions de Christian Blanc.
Comme Sarkozy n'est pas né de la dernière pluie, tout cela ne mènera à rien, si ce n'est à attendre 2012 pour savoir qui tirera son épingle du jeu, au gré de l'humeur ultime de l'électorat lors des présidentielles. Dans l'intervalle, il faut absolument que les défenseurs de Jean Bouin, qui ne peuvent compter que sur eux-mêmes, restent mobilisés contre ce projet ruineux et aberrant.
A suivre ...
D'un côté, Sarkozy, via Borloo, a autorisé la poursuite du projet Jean Bouin en permettant le pseudo relogement des sportifs scolaires et amateurs sur la pelouse d'Auteuil.
De l'autre, Delanoë accepte de participer à l'Atelier international pour le Grand Paris.
Tout comme Huchon qui lui, au passage, a vu son projet de SDRIF malthusien ( voir ici) débloqué par le gouvernement.
Ce pas de trois fait penser à un bal de faux-culs car ni Delanoë ni Huchon ne veulent du Grand Paris qui menaceraient leurs baronnies de petits politiciens locaux. Ils vont essayer d'encaisser cash Jean Bouin et le SDRIF et de payer leur écot en monnaie de singe. Les prétextes ne manqueront pas pour tenter d'enrayer plus tard les ambitions de Christian Blanc.
Comme Sarkozy n'est pas né de la dernière pluie, tout cela ne mènera à rien, si ce n'est à attendre 2012 pour savoir qui tirera son épingle du jeu, au gré de l'humeur ultime de l'électorat lors des présidentielles. Dans l'intervalle, il faut absolument que les défenseurs de Jean Bouin, qui ne peuvent compter que sur eux-mêmes, restent mobilisés contre ce projet ruineux et aberrant.
A suivre ...