"Dans une période de grande rigueur budgétaire, où la Ville de Paris a perdu son triple A, où les compressions de personnel sont de plus en plus fréquentes, où les départs à la retraite, en détachement où les mutations sont remplacés plus de 6 mois après (quand ils le sont), il existe un service qui continue d’enfler, d’enfler, seul dans son coin pour une efficacité toujours renouvelée…
Mais quel est ce service qui, tel un village d’irréductibles (bureaucrates ?), résiste à l’envahisseur en créant poste sur poste ? Quelle est cette superstructure, qui se renforce au fil des ans, voit ses conservateurs et ses attachés venir, parfois de loin, grossir les rangs de son armée de bibliothécaires de salon ? Non, il ne s’agit pas d’une bibliothèque, puisque le réseau parisien est dans un piteux état. Malgré les suppressions à la chaîne (les bibliothèque Morland et La Fontaine sont déjà fermées, Vaugirard et Château d’Eau y ont échappées de peu), les bibliothèques souffrent toujours de sous-effectif chronique et subissent la situation comme si la vérole s’abattait sur le bas clergé breton : l’heure est grave ?
Alors qui sont ces chefs qui imposent et défendent la rigueur budgétaire de la DRH, quel est ce service qui a vu ses effectifs doubler en quelques années ?"
Si vous cliquez ICI, vous lirez avec effroi et/ou amusement la suite de cette nouvelle confirmation des dérives de la gestion des affaires culturelles à la ville de paris, entre gabegie et tape à l'oeil !
Mais quel est ce service qui, tel un village d’irréductibles (bureaucrates ?), résiste à l’envahisseur en créant poste sur poste ? Quelle est cette superstructure, qui se renforce au fil des ans, voit ses conservateurs et ses attachés venir, parfois de loin, grossir les rangs de son armée de bibliothécaires de salon ? Non, il ne s’agit pas d’une bibliothèque, puisque le réseau parisien est dans un piteux état. Malgré les suppressions à la chaîne (les bibliothèque Morland et La Fontaine sont déjà fermées, Vaugirard et Château d’Eau y ont échappées de peu), les bibliothèques souffrent toujours de sous-effectif chronique et subissent la situation comme si la vérole s’abattait sur le bas clergé breton : l’heure est grave ?
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