"La fourrière Chevaleret-Dunois doit remplacer la fourrière de Bercy dont le terrain est rendu à la SNCF. La Préfecture de Police a donc demandé à la Ville de Paris de lui trouver un endroit pour ouvrir cette nouvelle fourrière.
Mais les tours d’habitation qui surplombent le lieu choisi par la mairie abritent plus de 3000 personnes, de nombreux services dont une crèche, une ludothèque, une salle de sport, une piscine, une école maternelle et une école primaire. Aux alentours immédiats il ya deux écoles maternelles.
Les habitants ont calculés qu’il y aurait 120 000 mouvements de véhicules par an supplémentaires dans des rues étroites, déjà très encombrées. En effet, la circulation est de plus en plus dense depuis le massacre des boulevards perpétré par la mairie dans le cadre du réaménagement de la partie est du treizième arrondissement. De plus, la circulation sur le Boulevard Vincent Auriol est très perturbée à cet endroit car il y a une entrée importante de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière. Cela entraînera une pollution par les gaz d'échappement des voitures et des embouteillages.
Pendant les années 2008-2009 la Mairie et la Préfecture de Police ont préparé leur affaire sans aucune concertation. C’est seulement lorsque les travaux ont commencé et que la pétition a circulé qu’une concertation a été engagée sous forme d’un blog après une réunion très chahutée avec la Mairie du
XIII ème, le Député et la Préfecture de Police. Mais la rampe d’accès direct au 4ème sous-sol était déjà construite.
Les trois déclarations préalables ont été demandées lorsque les riverains se sont manifestés. Les travaux étaient déjà bien avancés lorsque l’affichage réglementaire a été fait. Jamais le mot “fourrière” n’a été cité. La Préfecture de Police ordonne les travaux suivant son protocole sans se soucier des nuisances occasionnés aux habitants. Ensuite elle contrôle ses propres travaux. Il y a donc un conflit d’intérêt majeur !
La majorité des habitants du quartier s’étant prononcée contre l’installation de la fourrière, des recours ont été introduits en justice."
Mais les tours d’habitation qui surplombent le lieu choisi par la mairie abritent plus de 3000 personnes, de nombreux services dont une crèche, une ludothèque, une salle de sport, une piscine, une école maternelle et une école primaire. Aux alentours immédiats il ya deux écoles maternelles.
Les habitants ont calculés qu’il y aurait 120 000 mouvements de véhicules par an supplémentaires dans des rues étroites, déjà très encombrées. En effet, la circulation est de plus en plus dense depuis le massacre des boulevards perpétré par la mairie dans le cadre du réaménagement de la partie est du treizième arrondissement. De plus, la circulation sur le Boulevard Vincent Auriol est très perturbée à cet endroit car il y a une entrée importante de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière. Cela entraînera une pollution par les gaz d'échappement des voitures et des embouteillages.
Pendant les années 2008-2009 la Mairie et la Préfecture de Police ont préparé leur affaire sans aucune concertation. C’est seulement lorsque les travaux ont commencé et que la pétition a circulé qu’une concertation a été engagée sous forme d’un blog après une réunion très chahutée avec la Mairie du
XIII ème, le Député et la Préfecture de Police. Mais la rampe d’accès direct au 4ème sous-sol était déjà construite.
Les trois déclarations préalables ont été demandées lorsque les riverains se sont manifestés. Les travaux étaient déjà bien avancés lorsque l’affichage réglementaire a été fait. Jamais le mot “fourrière” n’a été cité. La Préfecture de Police ordonne les travaux suivant son protocole sans se soucier des nuisances occasionnés aux habitants. Ensuite elle contrôle ses propres travaux. Il y a donc un conflit d’intérêt majeur !
La majorité des habitants du quartier s’étant prononcée contre l’installation de la fourrière, des recours ont été introduits en justice."