Le Delanopolis bien sûr !
Reprenons. Sur les sept années de la première mandature, le gouffre financier des délirants aménagements de voirie qui ont altéré le patrimoine haussmannien était déjà, de l'aveu même de la mairie, de 3, 5 milliards d'euros : cliquez ICI pour vous rappeler ce triste bilan.
Depuis, deux années et demi se sont écoulées et d'autres abcès budgétaires se sont formés sous prétexte d'aménagement urbain et de circulation : la place de Clichy, les rues La Fayette et de Chateaudun, véritables martyrs du delanoisme, les aménagements démentiels dus au prolongement du tramway, etc. On peut, très prudemment, estimer ces travaux à la somme de 500 millions d'euros.
Si vous y ajoutez la dérive des dépenses de personnel, le 104 et le massacre de Jean Bouin ou les extravagants dossiers de Docks en Seine et de la Gaîté Lyrique, vous arrivez déjà très facilement aux 4, 7 milliards kervéliens.
Et ce n'est qu'un début, car il ne se trouve hélas aucun tribunal compétent pour ordonner à Delanoë de rembourser les Parisiens. Ils n'ont qu'à continuer de payer et, ça tombe bien, les taxes d'habitation arrivent dans leurs boîtes à lettres.
Reprenons. Sur les sept années de la première mandature, le gouffre financier des délirants aménagements de voirie qui ont altéré le patrimoine haussmannien était déjà, de l'aveu même de la mairie, de 3, 5 milliards d'euros : cliquez ICI pour vous rappeler ce triste bilan.
Depuis, deux années et demi se sont écoulées et d'autres abcès budgétaires se sont formés sous prétexte d'aménagement urbain et de circulation : la place de Clichy, les rues La Fayette et de Chateaudun, véritables martyrs du delanoisme, les aménagements démentiels dus au prolongement du tramway, etc. On peut, très prudemment, estimer ces travaux à la somme de 500 millions d'euros.
Si vous y ajoutez la dérive des dépenses de personnel, le 104 et le massacre de Jean Bouin ou les extravagants dossiers de Docks en Seine et de la Gaîté Lyrique, vous arrivez déjà très facilement aux 4, 7 milliards kervéliens.
Et ce n'est qu'un début, car il ne se trouve hélas aucun tribunal compétent pour ordonner à Delanoë de rembourser les Parisiens. Ils n'ont qu'à continuer de payer et, ça tombe bien, les taxes d'habitation arrivent dans leurs boîtes à lettres.