La photo ci-contre montre l'état calamiteux du pont levant de la rue de Crimée qui permet de franchir le canal de l'Ourcq.
Les trottoirs en bois sont usés jusqu'à l'os par les milliers de piétons qui transitent journellement sur ce pont entre le nord et le sud du 19ème arrondissement. Ils ont été rapiécés en urgence par des plaques en alu. La plinthe du trottoir est mangée par la rouille, l'ouvrage entier sue la misère et le déclin. Alors que ce pont levant, propriété de la ville de Paris, figure à l'inventaire des monuments historiques comme élément remarquable du patrimoine industriel du 19ème siècle, son défaut d'entretien délibéré conduit à sa ruine.
Au moment où l'argent des Parisiens est jeté dans des gouffres insondables (104, Jean Bouin, Canopée des Halles, tramway, logements clientélistes, etc. ... la liste est longue), il ne reste rien pour sauver le pont-levant de la rue de Crimée. Puisque la Ville se révèle incapable d'entretenir cet ouvrage, le seul de ce type à Paris, il conviendrait que l'Etat se substitue à elle pour le préserver d'une ruine inexorable comme il devrait le faire pour reconstruire le pont-route Manin-Crimée que la mairie de Paris laisse également à l'abandon ( cliquez ici ) .
La rue de Crimée et ses deux ponts en ruine donnent du 19ème arrondissement une image consternante.
Les trottoirs en bois sont usés jusqu'à l'os par les milliers de piétons qui transitent journellement sur ce pont entre le nord et le sud du 19ème arrondissement. Ils ont été rapiécés en urgence par des plaques en alu. La plinthe du trottoir est mangée par la rouille, l'ouvrage entier sue la misère et le déclin. Alors que ce pont levant, propriété de la ville de Paris, figure à l'inventaire des monuments historiques comme élément remarquable du patrimoine industriel du 19ème siècle, son défaut d'entretien délibéré conduit à sa ruine.
Au moment où l'argent des Parisiens est jeté dans des gouffres insondables (104, Jean Bouin, Canopée des Halles, tramway, logements clientélistes, etc. ... la liste est longue), il ne reste rien pour sauver le pont-levant de la rue de Crimée. Puisque la Ville se révèle incapable d'entretenir cet ouvrage, le seul de ce type à Paris, il conviendrait que l'Etat se substitue à elle pour le préserver d'une ruine inexorable comme il devrait le faire pour reconstruire le pont-route Manin-Crimée que la mairie de Paris laisse également à l'abandon ( cliquez ici ) .
La rue de Crimée et ses deux ponts en ruine donnent du 19ème arrondissement une image consternante.