Le crédit municipal, alias « ma tante », vient de défrayer à nouveau la chronique après qu’un début de scandale ait conduit Delanoë à en démettre le directeur général il y a trois ans. Les circonstances de cette révocation avaient d’ailleurs pas mal choqué, à l’époque, les fonctionnaires de la ville, Delanoë donnant l’impression de se défausser dans la panique alors qu’il est, rappelons-le, le président en titre de cet établissement.
Quoi qu’il en soit, le changement de gestion n’a pas l’air d’avoir produit d’effets notables puisque voilà derechef « ma tante » au centre d’un autre scandale, une affaire d’objets de fouilles archéologiques pillés en Italie et mis en vente aux enchères dans ses salles. Le moins qu’on puisse dire, c’est que la nécessaire prudence qui devrait présider (dans tous les sens du terme) à ce type d’activités, au croisement du marché de l’art et de la finance, ne semble pas de mise dans cet établissement. Serait-ce qu’il existe un élément de continuité dans sa gestion : un certain Delanoë Bertrand, qui a peut-être autre chose à faire que de le surveiller ?
Quoi qu’il en soit, le changement de gestion n’a pas l’air d’avoir produit d’effets notables puisque voilà derechef « ma tante » au centre d’un autre scandale, une affaire d’objets de fouilles archéologiques pillés en Italie et mis en vente aux enchères dans ses salles. Le moins qu’on puisse dire, c’est que la nécessaire prudence qui devrait présider (dans tous les sens du terme) à ce type d’activités, au croisement du marché de l’art et de la finance, ne semble pas de mise dans cet établissement. Serait-ce qu’il existe un élément de continuité dans sa gestion : un certain Delanoë Bertrand, qui a peut-être autre chose à faire que de le surveiller ?