Le nombre de ces contrats précaires pour les seules mairies d'arrondissement, services publics de proximité, est d'environ 232 personnes. Soit plus de 10% du total des agents qui travaillent à la DDCT, la direction en charge des mairies mais aussi, entre autre, des maisons des associations... Et sur ses deux cents contrats aidés, plus de la moitié « est indispensable » selon la Ville de Paris. Mais voilà, ils vont bientôt être supprimés à la suite de la décision d’Emmanuel Macron.
« La situation est critique » a ainsi lâché le directeur de la DDCT selon le site de la CGT...
Les organisations syndicales réclament bien sûr la titularisation des très nombreux, 1 543, contrats aidés travaillant dans l'ensemble des services de la Ville. « Cela fait plus de cinq ans que nous dénonçons le remplacement de fonctionnaires par des collègues sous-payés et jetés comme de kleenex tous les deux ans. Nous disons depuis cinq ans que près de 80 % de nos collègues en contrats aidés occupent des emplois permanents ce qui est illégal » déclare une élue représentante des personnels. Tellement illégale d'ailleurs que la ville a été condamnée par la cour de cassation sur cette question.
L'avenir des contrats précaires devrait ainsi être abordé au Conseil de Paris du 11 décembre ou plusieurs vœux sont proposés. Les débats devraient êtres animés au sein de l’exécutif municipal puisque plusieurs syndicats (CGT, FO et SUPAP) appellent également à un mouvement social ce jour là.
Hé, bé, le climat social s'améliore à la mairie !
« La situation est critique » a ainsi lâché le directeur de la DDCT selon le site de la CGT...
Les organisations syndicales réclament bien sûr la titularisation des très nombreux, 1 543, contrats aidés travaillant dans l'ensemble des services de la Ville. « Cela fait plus de cinq ans que nous dénonçons le remplacement de fonctionnaires par des collègues sous-payés et jetés comme de kleenex tous les deux ans. Nous disons depuis cinq ans que près de 80 % de nos collègues en contrats aidés occupent des emplois permanents ce qui est illégal » déclare une élue représentante des personnels. Tellement illégale d'ailleurs que la ville a été condamnée par la cour de cassation sur cette question.
L'avenir des contrats précaires devrait ainsi être abordé au Conseil de Paris du 11 décembre ou plusieurs vœux sont proposés. Les débats devraient êtres animés au sein de l’exécutif municipal puisque plusieurs syndicats (CGT, FO et SUPAP) appellent également à un mouvement social ce jour là.
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