"La Mairie de Paris a décidé d’interdire la présence d’Etienne Cendrier, membre du Comité de Suivi du Grenelle des Ondes et de la commission des mesures d’exposition, sous l’égide des Ministères de la Santé, de l’Ecologie et de l’Economie Numérique, au Comité Hygiène et Sécurité (CHS) de la Direction des Affaires Culturelles prévu le 23 octobre 2009.
Parmi les points mis à l’ordre du jour de cette instance figurent les mesures et installations des bornes Wi-fi dans les bibliothèques et musées parisiens.
La présence d’Etienne Cendrier avait été demandée par le syndicat Supap-FSU et soutenue par les élus CHS de la CGT, FO et UNSA. Au début de l’année, le Maire de Paris avait également interdit la présence au CHS de la DAC du Pr. Dominique Belpomme qui devait informer les membres de ce comité sur les symptômes de l’intolérance aux champs électromagnétiques.
Dans la foulée, toutes les questions sur les effets des ondes electromagnetiques avaient été assujetties à la tenue d'une conférence de citoyens et à ses recommandations. Cette Conférence Citoyenne a depuis rendu un avis très sévère sur la question des ondes électromagnétiques sur la santé, préconisant notamment le remplacement du Wi-fi dans les bâtiments municipaux lorsque des installations filaires étaient possibles.
Malgré le grenelle des ondes ou les récents travaux redus par l’AFSSET, qui prennent très sérieusement en compte l’effet des ondes électromagnétiques sur la santé, la Ville de Paris, ses élus et l’administration refusent d’aborder cette question par peur de remettre en cause leur idéologie sur les technologies sans fils. Il est vrai que sur les questions de santé, la Ville de Paris a un gros problème avec la loi puisqu’elle ne respecte pas même les textes réglementaires notamment en
matière d’amiante.
Le secteur privé semble avoir plus d’audace que le Maire de Paris, puisque Etienne Cendrier (par ailleurs porte parole de l’association Robin des toits), et des membres du Supap-FSU ont été auditionnés dans des CHSCT qui osent débattre de ce problème de santé dans le cadre du travail..
Ajoutons que la technologie Wi-fi est déjà obsolète et que seul le Très Haut Débit offre une alternative (c’est la fibre optique qui est nécessaire). A ce rythme Paris va devenir « Ville numérique archaïque »
Le syndicat Supap-FSU, à l’instar des Parisiens, demande au Maire de Paris, le remplacement du Wi-fi par des connexions filaires dans tous les bâtiments publics et de réellement prendre en compte les questions de santé de ses agents."
Demandons, demandons, il en restera toujours quelque chose ...
Parmi les points mis à l’ordre du jour de cette instance figurent les mesures et installations des bornes Wi-fi dans les bibliothèques et musées parisiens.
La présence d’Etienne Cendrier avait été demandée par le syndicat Supap-FSU et soutenue par les élus CHS de la CGT, FO et UNSA. Au début de l’année, le Maire de Paris avait également interdit la présence au CHS de la DAC du Pr. Dominique Belpomme qui devait informer les membres de ce comité sur les symptômes de l’intolérance aux champs électromagnétiques.
Dans la foulée, toutes les questions sur les effets des ondes electromagnetiques avaient été assujetties à la tenue d'une conférence de citoyens et à ses recommandations. Cette Conférence Citoyenne a depuis rendu un avis très sévère sur la question des ondes électromagnétiques sur la santé, préconisant notamment le remplacement du Wi-fi dans les bâtiments municipaux lorsque des installations filaires étaient possibles.
Malgré le grenelle des ondes ou les récents travaux redus par l’AFSSET, qui prennent très sérieusement en compte l’effet des ondes électromagnétiques sur la santé, la Ville de Paris, ses élus et l’administration refusent d’aborder cette question par peur de remettre en cause leur idéologie sur les technologies sans fils. Il est vrai que sur les questions de santé, la Ville de Paris a un gros problème avec la loi puisqu’elle ne respecte pas même les textes réglementaires notamment en
matière d’amiante.
Le secteur privé semble avoir plus d’audace que le Maire de Paris, puisque Etienne Cendrier (par ailleurs porte parole de l’association Robin des toits), et des membres du Supap-FSU ont été auditionnés dans des CHSCT qui osent débattre de ce problème de santé dans le cadre du travail..
Ajoutons que la technologie Wi-fi est déjà obsolète et que seul le Très Haut Débit offre une alternative (c’est la fibre optique qui est nécessaire). A ce rythme Paris va devenir « Ville numérique archaïque »
Le syndicat Supap-FSU, à l’instar des Parisiens, demande au Maire de Paris, le remplacement du Wi-fi par des connexions filaires dans tous les bâtiments publics et de réellement prendre en compte les questions de santé de ses agents."
Demandons, demandons, il en restera toujours quelque chose ...