La nouvelle n'a pas fait grand bruit mais le Delanopolis veille.
Subrepticement, la ville vient de supprimer l'abattement de 15 % sur la taxe de séjour dans les hôtels parisiens. Genevière Bahler, la présidente de la branche hôtellerie indépendante du syndicat Synhorcat a aussitôt réclamé son abrogation.
La chose est simple à comprendre : comme tout impôt forfaitaire, cette taxe est calculée en fonction des capacités d'accueil et non de l'occupation réelle. Au vu des graves difficultés actuelles de l'hôtellerie parisienne, c'est mettre à ce secteur la tête sous l'eau.
Du reste, Bertrand Lecourt, le président de la chambre syndicale des hôteliers de Paris a mis les points sur les "i". "En ces temps de crise, ce n'était absolument pas le moment d'augmenter un impôt qui était le plus lourd que les hôteliers parisiens aient à payer".
Cette hausse devrait représenter une charge minimum de 6 millions d'euros pour les professionnels du tourisme. Rappelons que l'hôtellerie est un des principaux employeurs parisiens et que tout ce qui la frappe a des conséquences directes et ravageuses sur l'activité économique et le chômage dans notre ville.
Mais, que voulez-vous, il faut bien financer le clientélisme des HLM, les énièmes études sur la canopée des Halles, la démolition de la voirie parisienne sous prétexte de tramway et toutes les joyeusetés dont Delanoë et sa bande nous gratifient...
Subrepticement, la ville vient de supprimer l'abattement de 15 % sur la taxe de séjour dans les hôtels parisiens. Genevière Bahler, la présidente de la branche hôtellerie indépendante du syndicat Synhorcat a aussitôt réclamé son abrogation.
La chose est simple à comprendre : comme tout impôt forfaitaire, cette taxe est calculée en fonction des capacités d'accueil et non de l'occupation réelle. Au vu des graves difficultés actuelles de l'hôtellerie parisienne, c'est mettre à ce secteur la tête sous l'eau.
Du reste, Bertrand Lecourt, le président de la chambre syndicale des hôteliers de Paris a mis les points sur les "i". "En ces temps de crise, ce n'était absolument pas le moment d'augmenter un impôt qui était le plus lourd que les hôteliers parisiens aient à payer".
Cette hausse devrait représenter une charge minimum de 6 millions d'euros pour les professionnels du tourisme. Rappelons que l'hôtellerie est un des principaux employeurs parisiens et que tout ce qui la frappe a des conséquences directes et ravageuses sur l'activité économique et le chômage dans notre ville.
Mais, que voulez-vous, il faut bien financer le clientélisme des HLM, les énièmes études sur la canopée des Halles, la démolition de la voirie parisienne sous prétexte de tramway et toutes les joyeusetés dont Delanoë et sa bande nous gratifient...