Même si l'on est un chaud partisan de la liberté économique et hostile aux réglementations excessivement contraignantes, il faut dire que la ville vient à nouveau de réaliser un tour de force : pondre un projet de réglementation à la fois permissif et alambiqué qui ne satisfera personne. Car la chaussée parisienne n'est pas extensible à l'infini et il faut bien que la puissance publique règle les inévitables conflits d'usage.
Le document réalisé par Vivre Paris (cliquez ici ) est particulièrement éloquent sur la question des zones piétonnes, des largeurs de terrasse, des disgracieuses bâches en plastique, etc.
A vous de juger, mais, d'après nos informations, même les maires d'arrondissement socialistes n'en veulent pas !
Et n'oublions pas que tous ces problèmes sont et seront de plus en plus aggravés par la réduction du nombre de places de stationnement et les entraves à la circulation qui conduisent les Parisiens à recourir aux deux-roues motorisées et se garer sur les trottoirs car ils ne peuvent le faire nulle part ailleurs.
Depuis 2001, lesdits trottoirs se transforment peu à peu en un Capharnahum à l'antique, encombré de potelets, scooters, panneaux Decaux géants et autres réverbères de tous styles qui enlaidissent notre ville. Enfin ... tant qu'il y a des impôts pour financer tout ça ...
Le document réalisé par Vivre Paris (cliquez ici ) est particulièrement éloquent sur la question des zones piétonnes, des largeurs de terrasse, des disgracieuses bâches en plastique, etc.
A vous de juger, mais, d'après nos informations, même les maires d'arrondissement socialistes n'en veulent pas !
Et n'oublions pas que tous ces problèmes sont et seront de plus en plus aggravés par la réduction du nombre de places de stationnement et les entraves à la circulation qui conduisent les Parisiens à recourir aux deux-roues motorisées et se garer sur les trottoirs car ils ne peuvent le faire nulle part ailleurs.
Depuis 2001, lesdits trottoirs se transforment peu à peu en un Capharnahum à l'antique, encombré de potelets, scooters, panneaux Decaux géants et autres réverbères de tous styles qui enlaidissent notre ville. Enfin ... tant qu'il y a des impôts pour financer tout ça ...