Faisant le point sur cette affaire et le bras de fer entre la ville et la CMA, le Journal des Arts relève que : "Son chargé d’affaires (à la CMA), Henri Roux-Alezais – qui préside aujourd’hui l’Institut de la Méditerranée – se serait alors montré assez ferme auprès des responsables du musée : « vous savez, quand Monsieur Saadé veut quelque chose… ». De fait, dès juillet 2004, la directrice des Affaires culturelles de la Ville de Paris, Hélène Font, donne son accord, moyennant un modeste dédommagement pour les structures des panneaux.
Le service juridique de la municipalité a toutefois déroulé une argumentation assez primaire, transmise par note à Suzanne Pagé, toujours directrice du MAMVP : il y a bien eu dépôt mais cela ne signifie pas que le musée soit propriétaire des panneaux. Sachant pourtant que, « en matière de meuble, possession vaut titre », le raisonnement aurait pu être renversé. D’autant qu’aucun titre de propriété n’est exigé de la compagnie par la Ville de Paris, tutelle du musée qui fait alors preuve d’une rare mansuétude."
Bref, c'est plutôt le bras de fer contre le bras de terre ...
Si vous voulez en savoir plus sur cette capitulation, cliquez LA.
Le service juridique de la municipalité a toutefois déroulé une argumentation assez primaire, transmise par note à Suzanne Pagé, toujours directrice du MAMVP : il y a bien eu dépôt mais cela ne signifie pas que le musée soit propriétaire des panneaux. Sachant pourtant que, « en matière de meuble, possession vaut titre », le raisonnement aurait pu être renversé. D’autant qu’aucun titre de propriété n’est exigé de la compagnie par la Ville de Paris, tutelle du musée qui fait alors preuve d’une rare mansuétude."
Bref, c'est plutôt le bras de fer contre le bras de terre ...
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