Nos lecteurs ont encore en tête le tumulte provoqué, il y a un peu plus d'un mois, par ces révélations : voir en cliquant LA, si tel n'est plus le cas.
Mais cela va changer ainsi que nous l'explique le Parisien : voir en cliquant ICI. 57 victimes vont paraît-il trinquer.
Outre que cela sonne comme un aveu, on se souviendra que, parmi les agents fortement épinglés par la chambre régionale des comptes, figurent précisément les directeur et directeur-adjoint du cabinet du maire.
Reprenons les termes employés par les magistrats financiers : « l’examen des conditions de recrutement des membres du cabinet du maire ainsi que de plusieurs directeurs a mis en évidence des irrégularités ou des anomalies au regard des règles de droit, des autorisations budgétaires ou des principes d’organisation des services » ;
• « lorsque le maire recrute pour son cabinet, les fonctionnaires doivent être affectés sur des postes de collaborateurs de cabinet (…) Or l’examen de la gestion des emplois de direction a mis en évidence que ce sont des emplois permanents et non des postes de collaborateurs de cabinet qui ont servi de supports au recrutement ».
Il va donc falloir que ces individus, qui ont entrepris l'évaluation du travail d'autrui, fassent preuve d'une totale exemplarité pour apprécier si leurs propres « rémunérations sont en adéquation avec les responsabilités exercées » ! Gageons que les autres hauts fonctionnaires concernés observeront avec intérêt le résultat de cet exercice inédit d'autocritique !
Mais cela va changer ainsi que nous l'explique le Parisien : voir en cliquant ICI. 57 victimes vont paraît-il trinquer.
Outre que cela sonne comme un aveu, on se souviendra que, parmi les agents fortement épinglés par la chambre régionale des comptes, figurent précisément les directeur et directeur-adjoint du cabinet du maire.
Reprenons les termes employés par les magistrats financiers : « l’examen des conditions de recrutement des membres du cabinet du maire ainsi que de plusieurs directeurs a mis en évidence des irrégularités ou des anomalies au regard des règles de droit, des autorisations budgétaires ou des principes d’organisation des services » ;
• « lorsque le maire recrute pour son cabinet, les fonctionnaires doivent être affectés sur des postes de collaborateurs de cabinet (…) Or l’examen de la gestion des emplois de direction a mis en évidence que ce sont des emplois permanents et non des postes de collaborateurs de cabinet qui ont servi de supports au recrutement ».
Il va donc falloir que ces individus, qui ont entrepris l'évaluation du travail d'autrui, fassent preuve d'une totale exemplarité pour apprécier si leurs propres « rémunérations sont en adéquation avec les responsabilités exercées » ! Gageons que les autres hauts fonctionnaires concernés observeront avec intérêt le résultat de cet exercice inédit d'autocritique !