Des emprises de chantier se sont multipliées dernièrement entre les portes Dorée et de Bagnolet sous le label de l'extension du tramway. Très curieusement, elles sont situées majoritairement en rive latérale intérieure du boulevard Davout , c'est-à-dire en dehors de l'emprise de la plate-forme du tramway prévue en position axiale.
Il s'agit en réalité de travaux d'extension du réseau CPCU dont le lien avec le tramway est tiré par les cheveux et ne résulte que d'affirmations péremptoires ( voir en cliquant ici et ici ). La mairie veut faire croire au peuple et aux médias que les choses vont bon tram. Même si les obstacles énormes qui se dressent sur ses rails et qui sont régulièrement exposés dans le Delanopolis rendent le vrai début des travaux hypothétique.
Du reste, aucun plan de ces travaux n'est communiqué au public soit par affichage sur les palissades de chantier, soit par lettre aux riverains, soit même par mention dans les journaux d'information des 12ème et 20ème arrondissements.
Il est bon de rappeler que durant les travaux de soi-disant déviation des réseaux sous les maréchaux sud, l'opacité régna et que les plans des nouvelles canalisations souterraines n'ont jamais fait l'objet d'une quelconque publicité. L'exposition actuelle au pavillon de l'Arsenal présente d'ailleurs deux photos du boulevard Lefebvre qui montrent que les canalisations hydrauliques furent reconstruites sous le tracé du tram, sans déplacement, ce qui nécessitera la démolition des voies pour réparer les fuites éventuelles !
Le "projet phare" de la mandature est donc conduit sans lanterne pour éclairer les citoyens, qu'il s'agisse de la porte de Vincennes ( voir ici) , du crochet par Pantin ( voir ici ) , de la porte de la Chapelle et de sa cohabitation avec le projet CDG Express ( voir ici).
Plus on creuse le dossier, moins on trouve : rien sur les 36 ouvrages d'art à démolir, reconstruire, modifier, renforcer ; rien sur la congestion résultant de la suppression des passages souterrains des maréchaux ; rien sur le délirant et mégalomaniaque garage à tramway du stade Ladoumègue conçu pour 50 rames alors qu'il n'en faut que la moitié pour la desserte du projet.
Décidément, Bertrand D. a coiffé un casque de chantier trop grand pour lui et il ne voit plus rien devant...
Il s'agit en réalité de travaux d'extension du réseau CPCU dont le lien avec le tramway est tiré par les cheveux et ne résulte que d'affirmations péremptoires ( voir en cliquant ici et ici ). La mairie veut faire croire au peuple et aux médias que les choses vont bon tram. Même si les obstacles énormes qui se dressent sur ses rails et qui sont régulièrement exposés dans le Delanopolis rendent le vrai début des travaux hypothétique.
Du reste, aucun plan de ces travaux n'est communiqué au public soit par affichage sur les palissades de chantier, soit par lettre aux riverains, soit même par mention dans les journaux d'information des 12ème et 20ème arrondissements.
Il est bon de rappeler que durant les travaux de soi-disant déviation des réseaux sous les maréchaux sud, l'opacité régna et que les plans des nouvelles canalisations souterraines n'ont jamais fait l'objet d'une quelconque publicité. L'exposition actuelle au pavillon de l'Arsenal présente d'ailleurs deux photos du boulevard Lefebvre qui montrent que les canalisations hydrauliques furent reconstruites sous le tracé du tram, sans déplacement, ce qui nécessitera la démolition des voies pour réparer les fuites éventuelles !
Le "projet phare" de la mandature est donc conduit sans lanterne pour éclairer les citoyens, qu'il s'agisse de la porte de Vincennes ( voir ici) , du crochet par Pantin ( voir ici ) , de la porte de la Chapelle et de sa cohabitation avec le projet CDG Express ( voir ici).
Plus on creuse le dossier, moins on trouve : rien sur les 36 ouvrages d'art à démolir, reconstruire, modifier, renforcer ; rien sur la congestion résultant de la suppression des passages souterrains des maréchaux ; rien sur le délirant et mégalomaniaque garage à tramway du stade Ladoumègue conçu pour 50 rames alors qu'il n'en faut que la moitié pour la desserte du projet.
Décidément, Bertrand D. a coiffé un casque de chantier trop grand pour lui et il ne voit plus rien devant...