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Mais comme les 300.000 euros précédemment versés ne suffisaient sans doute pas, la ville a prévu de rajouter une louche supplémentaire : 167.440 euros pour une entreprise, la société IBTP. En jargon juridique, on appelle ça de l'enrichissement sans cause, la ville indemnisant le prestataire qui lui a fourni des services quand bien même le marché est annulé.
Dans toutes ces sommes, il est bien difficile de savoir ce qui a été réellement utile et pour quel montant. Une chose est sûre, une partie de ces dépenses correspondent à des retards de paiement et des frais financiers que les contribuables parisiens auraient pu s'éviter. Mais est-ce si grave puisque, comme chacun sait, Paris roule sur l'or grâce à la brillante gestion qui a cours depuis 2001.
Mais comme les 300.000 euros précédemment versés ne suffisaient sans doute pas, la ville a prévu de rajouter une louche supplémentaire : 167.440 euros pour une entreprise, la société IBTP. En jargon juridique, on appelle ça de l'enrichissement sans cause, la ville indemnisant le prestataire qui lui a fourni des services quand bien même le marché est annulé.
Dans toutes ces sommes, il est bien difficile de savoir ce qui a été réellement utile et pour quel montant. Une chose est sûre, une partie de ces dépenses correspondent à des retards de paiement et des frais financiers que les contribuables parisiens auraient pu s'éviter. Mais est-ce si grave puisque, comme chacun sait, Paris roule sur l'or grâce à la brillante gestion qui a cours depuis 2001.