Scène 2
La scène se déroule d’abord dans le noir, Cécilina est dans un sac.
Cécilina
Allo …
Allo …
Alpha, Lolita, Lolita, Oboulo …
Bon sang, il n’y a personne ou ce micro déconne !
Aïoli, aligot …
Si tu fais le nigaud, méchant petit Nico,
Tu paieras au prix fort ton silence de mort.
Allo, Allo …
Ah, ça, je ferai écraser ces maudits fournisseurs
Et estripatouiller tous ces sales profiteurs !
On passe des appels d’offres ou sinon on nous coffre.
Et le seul résultat c’est une batterie à plat …
Allo beaux lolos …
Le coprince
Oui, c’est toi ? Je ne te comprends pas !
Cécilina
Enfin j’entends ta voix !
Je dois parler tout bas
Ou ces mulets d’Afrique me couperont la chique.
Pour l’instant tout va bien, ils me croient endormie.
Ils m’ont mise dans un coin et un sac pourri.
Ils se sentent en famille et pensent que je roupille.
Ils n’ont pas fait cent pas, je suis en contrebas.
Le coprince
Tout est « under control » si tu joues bien ton rôle.
Ils croient t’avoir planquée et s’apprêtent à foncer
Vers leur consulat pour un branle-bas de combat.
Cécilina
C’était une idée sotte, cette histoire d’antidote.
J’ai comme un haut-le-cœur et tout ça pour ma sœur !
Le coprince
Il faut bien la guérir de ses furieux délires.
Au lieu de s’enticher de quelque jeune premier
La voilà qui s’éprend d’un despote délirant.
Si c’était à refaire je la laisserais braire
Qu’elle finisse au harem à faire des cafés-crèmes !
Cécilina
Tu sais parfaitement bien qu’elle a une case de moins
Depuis cet accident où tu fus imprudent.
Notre dette est immense, il y aurait impudence
A compter nos dépenses et je pense à maman.
Le coprince
Je ferais tout pour toi car il n’est pas de loi
Plus forte que ma confiance et que ma foi en toi.
Tu fus la seule clémence quand tous me trahirent
Riant de mes soupirs.
Quand tant de dos tournés, de regards détournés
Me laissèrent au plus bas.
Cécilina
Le voilà désormais le moment
Ou jamais de me le démontrer.
Le coprince
Dès qu’il sort de sa tente, sois sûre que j’interviens.
Mais attendons un brin.
Coinçons aussi Ducal, je la veux en bocal.
Cécilina
Il faut que je me taise car j’entends mes balaises
Qui ramènent leurs fraises.
(La lumière s’allume, on voit un grand sac, entrent Gadafi, les Tigresses et Caroline Schpountz.)
Gadafi (désignant le sac)
Mon petit cœur sanglote, je ne suis pas chochotte
Et elle n’est pas gnognotte
Mais la voir concassée dans cet affreux paquet met mes nerfs au taquet.
Schpountz
C’est une nécessité pour pouvoir l’expédier
Sans craindre de ratés.
Tu as vu de tes yeux comme elle avait changé
Ils l’ont décervelée et elle t’a repoussé.
Gadafi
Tais-toi vile scélérate, rate des villes !
Je tiens l’explication de toute sa déraison,
Comme elle s’est exprimée, c’est qu’elle était droguée.
Schpountz
Peu importe le contexte, les justifications,
Tu n’as aucun prétexte et peu de munitions,
Attends donc Tripoli pour ouvrir ton colis.
Aïcha (à Caroline, menaçante)
Peux-tu me dire en quoi on a besoin de toi ?
Schpountz
Vous ne voulez donc pas de toute mon armada ?
Le chèque est encaissé mais mes armes sont là.
Gadafi (parlant à Aïcha en désignant Caroline Schpountz de la tête.)
C’est assez gaspillé, comme j’ai récupéré
Ma chère et bien-aimée je suis plutôt porté
A tout lui pardonner.
Samia
Sauveur, d’ici moins de deux heures
Ce satané chanoine sera très réveillé
Et aura rappliqué.
Déguerpis illico tel chacal au galop
Ou il prendra tes os en te laissant la peau !
Schpountz
Il serait sage je pense que tu caltes de France.
Moi je suis plus tranquille grâce à mon déguisement
Qui marie noble style et totale discrétion.
(Elle enroule sa queue autour de son cou comme si c’était une cape quand, soudain, on entend des bruits, la porte s’ouvre violemment, entrent Ducal, des Bris, Touchter, armés de revolvers et de mitraillettes.)
Ducal
Haut les mains peau de lapin !
Schpountz
Sauf erreur la Ducal, c’est un autre animal
Dont vous voyez le poil.
Roland des Bris
Vous cachez un complice dans ce sac de jute,
Mais face à la police et à ses grosses brutes
Vous devrez avouer vos terribles projets.
Ducal (à Gadafi)
Alors, vil dictateur qui agit à l’antique,
Ton visage sue la peur et est perclus de tics.
Gadafi (riant, désignant Marjolaine du doigt)
Bon sang, mais c’est bien sûr !
C’est la folle qui carbure
Au vin démocratique
Qui la rend hystérique.
(Les Tigresses rient.)
Asma (voix masculine, regardant des Bris et Touchter)
J’en vois d’autres qui assurent dans un genre plus lubrique.
(Il fait un clin d’œil à des Bris et Touchter et leur envoie un baiser.)
Touchter (nerveux)
Rassurez-vous, sauveur, nous ne ferons pas fi
De nos exequatur et lois diplomatiques
Dès que votre complice, réfugiée dans ce sac,
Avouera tous ses vices à nos juges et nos flics.
Gadafi (à Ducal)
Ah ça !
Parce que tu espères, narine de vipère,
Que je vais te livrer mon trésor bien-aimé.
Ducal (à Touchter et des Bris)
On dirait que l’affaire est assez compliquée.
Si c’est un adultère et pas une trahison,
On risque dans les chaumières de leur donner raison.
Des Bris (à Gadafi)
Tu nous prends pour des burnes
Nous qui bourrons les urnes.
Cette histoire de cœur ne tient pas un quart d’heure
C’est un secret d’Etat que tu veux faucher là.
Gadafi
Nigaud et cancrelat, de secret il n’y a.
Mis à part celle que j’aime rien ne compte pour moi.
Ducal
Dans ces conditions là, il faut les démasquer.
Allons voir sur le tas où elle planque son secret
Et livrons aux médias l’espionne débusquée.
(Elle fait un signe de la tête à des Bris et Touchter qui approchent du sac en tenant en joue Gadafi et les Tigresses tout en tremblant. On entend à nouveau Cécilina.)
Cécilina (au coprince)
Tu entends comme moi qu’ils radinent leurs miches.
Le coprince
C’est le moment, je crois, de virer ta postiche.
(Le sac se met à bouger, des Bris et Touchter l’entourent suspicieux puis ils l’ouvrent.)
Ducal (à Cécilina)
Alors, la fière est dans le sac !
Schpountz (à Asma)
C’est de l’humour ric-rac,
Du genre rubrique-à-brac.
Asma (à Schpountz)
Gotlib dich !
Je vois ton appendice et,
J’avoue, je concupisce.
Schpountz
Il faudra qu’on attende la fin de cette histoire
Pour nous laisser aller à cette soudaine pulsion.
Cécilina (sortant du sac)
Et bien qu’est-ce que celà ?
Assemblée générale d’agités du bocal ?
Amateurs authentiques du pillage de l’Afrique ?
Diplomates qui se dilatent ? Comploteurs à toute heure ? Trafiquants à l’encan ?
C’est un piètre tableau, sans même un chevalet
Que ce tas de charlots dont chacun est très laid.
Gadafi
Mais enfin Carlotta d’où te vient cette hargne ?
Quand tu fus dans mes bras, ce n’était point le bagne.
Nous étions convenus que tu joues l’ingénue,
Assoiffée de vengeance, que je débarque en France
Et que tu fasses mine d’avoir eu la grosse guigne,
Que je te rapterai dans ta principauté
Et te ramènerai sur un tapis volant
Laissant ta sœur cassée et ton chanoine ballant.
Ducal (à part)
Carlotta ? Qui c’est-t-y celle là ?
Des Bris (à part)
Sœur cassée ? Où vont-ils la trouver ?
Touchter (à part)
Je sens comme du roussi dans cette étrange famille
Cécilina (à Gadafi)
Aurais-tu abusé de quelque narguilé ?
Je n’ai jamais été celle que tu croyais.
Gadadi
Ah, ça, cette histoire est truquée, pourtant j’ai vérifié !
(Il se jette sur Cécilina et lui baisse la tunique.)
Gadafi (reculant)
Par Allah tout puissant, ils m’ont fichu dedans !
(Aux autres)
Ce n’est pas son derrière tout y est à l’envers !
(Se retournant vers Cécilina, au même moment entrent dans la pièce les reporters Esprit et Perron avec une caméra vidéo, personne ne les remarque encore.)
Cocktail de virus, poupée russe de vices,
Je ne suis qu’un gugusse !
Ducal (à des Bris et Touchter)
C’est un message codé,
Il doit être collé.
(Elle se jette sur Cécilina et tente de lui arracher son grain de beauté, Cécilina crie.)
A ça vas-tu venir,
Livre-moi tes secrets !
Gadafi (à Ducal)
Tu cherches ton bonheur mais pas du bon côté !
Ducal (désignant les fesses de Cécilina)
C’est une bombe atomique qu’elle y a installé.
Gadafi (faisant la moue)
Pour en avoir testé, c’est bien exagéré.
(Les journalistes cherchent à se faire remarquer.)
Hmm … Hmm
Hmm… Hmm…
(Tous les autres se retournent lentement et découvrent la caméra, estomaqués)
Touchter
Coupez !
Perron
Trop tard c’est du direct !
Esprit
Les Français se délectent.
(La lumière tombe)
La scène se déroule d’abord dans le noir, Cécilina est dans un sac.
Cécilina
Allo …
Allo …
Alpha, Lolita, Lolita, Oboulo …
Bon sang, il n’y a personne ou ce micro déconne !
Aïoli, aligot …
Si tu fais le nigaud, méchant petit Nico,
Tu paieras au prix fort ton silence de mort.
Allo, Allo …
Ah, ça, je ferai écraser ces maudits fournisseurs
Et estripatouiller tous ces sales profiteurs !
On passe des appels d’offres ou sinon on nous coffre.
Et le seul résultat c’est une batterie à plat …
Allo beaux lolos …
Le coprince
Oui, c’est toi ? Je ne te comprends pas !
Cécilina
Enfin j’entends ta voix !
Je dois parler tout bas
Ou ces mulets d’Afrique me couperont la chique.
Pour l’instant tout va bien, ils me croient endormie.
Ils m’ont mise dans un coin et un sac pourri.
Ils se sentent en famille et pensent que je roupille.
Ils n’ont pas fait cent pas, je suis en contrebas.
Le coprince
Tout est « under control » si tu joues bien ton rôle.
Ils croient t’avoir planquée et s’apprêtent à foncer
Vers leur consulat pour un branle-bas de combat.
Cécilina
C’était une idée sotte, cette histoire d’antidote.
J’ai comme un haut-le-cœur et tout ça pour ma sœur !
Le coprince
Il faut bien la guérir de ses furieux délires.
Au lieu de s’enticher de quelque jeune premier
La voilà qui s’éprend d’un despote délirant.
Si c’était à refaire je la laisserais braire
Qu’elle finisse au harem à faire des cafés-crèmes !
Cécilina
Tu sais parfaitement bien qu’elle a une case de moins
Depuis cet accident où tu fus imprudent.
Notre dette est immense, il y aurait impudence
A compter nos dépenses et je pense à maman.
Le coprince
Je ferais tout pour toi car il n’est pas de loi
Plus forte que ma confiance et que ma foi en toi.
Tu fus la seule clémence quand tous me trahirent
Riant de mes soupirs.
Quand tant de dos tournés, de regards détournés
Me laissèrent au plus bas.
Cécilina
Le voilà désormais le moment
Ou jamais de me le démontrer.
Le coprince
Dès qu’il sort de sa tente, sois sûre que j’interviens.
Mais attendons un brin.
Coinçons aussi Ducal, je la veux en bocal.
Cécilina
Il faut que je me taise car j’entends mes balaises
Qui ramènent leurs fraises.
(La lumière s’allume, on voit un grand sac, entrent Gadafi, les Tigresses et Caroline Schpountz.)
Gadafi (désignant le sac)
Mon petit cœur sanglote, je ne suis pas chochotte
Et elle n’est pas gnognotte
Mais la voir concassée dans cet affreux paquet met mes nerfs au taquet.
Schpountz
C’est une nécessité pour pouvoir l’expédier
Sans craindre de ratés.
Tu as vu de tes yeux comme elle avait changé
Ils l’ont décervelée et elle t’a repoussé.
Gadafi
Tais-toi vile scélérate, rate des villes !
Je tiens l’explication de toute sa déraison,
Comme elle s’est exprimée, c’est qu’elle était droguée.
Schpountz
Peu importe le contexte, les justifications,
Tu n’as aucun prétexte et peu de munitions,
Attends donc Tripoli pour ouvrir ton colis.
Aïcha (à Caroline, menaçante)
Peux-tu me dire en quoi on a besoin de toi ?
Schpountz
Vous ne voulez donc pas de toute mon armada ?
Le chèque est encaissé mais mes armes sont là.
Gadafi (parlant à Aïcha en désignant Caroline Schpountz de la tête.)
C’est assez gaspillé, comme j’ai récupéré
Ma chère et bien-aimée je suis plutôt porté
A tout lui pardonner.
Samia
Sauveur, d’ici moins de deux heures
Ce satané chanoine sera très réveillé
Et aura rappliqué.
Déguerpis illico tel chacal au galop
Ou il prendra tes os en te laissant la peau !
Schpountz
Il serait sage je pense que tu caltes de France.
Moi je suis plus tranquille grâce à mon déguisement
Qui marie noble style et totale discrétion.
(Elle enroule sa queue autour de son cou comme si c’était une cape quand, soudain, on entend des bruits, la porte s’ouvre violemment, entrent Ducal, des Bris, Touchter, armés de revolvers et de mitraillettes.)
Ducal
Haut les mains peau de lapin !
Schpountz
Sauf erreur la Ducal, c’est un autre animal
Dont vous voyez le poil.
Roland des Bris
Vous cachez un complice dans ce sac de jute,
Mais face à la police et à ses grosses brutes
Vous devrez avouer vos terribles projets.
Ducal (à Gadafi)
Alors, vil dictateur qui agit à l’antique,
Ton visage sue la peur et est perclus de tics.
Gadafi (riant, désignant Marjolaine du doigt)
Bon sang, mais c’est bien sûr !
C’est la folle qui carbure
Au vin démocratique
Qui la rend hystérique.
(Les Tigresses rient.)
Asma (voix masculine, regardant des Bris et Touchter)
J’en vois d’autres qui assurent dans un genre plus lubrique.
(Il fait un clin d’œil à des Bris et Touchter et leur envoie un baiser.)
Touchter (nerveux)
Rassurez-vous, sauveur, nous ne ferons pas fi
De nos exequatur et lois diplomatiques
Dès que votre complice, réfugiée dans ce sac,
Avouera tous ses vices à nos juges et nos flics.
Gadafi (à Ducal)
Ah ça !
Parce que tu espères, narine de vipère,
Que je vais te livrer mon trésor bien-aimé.
Ducal (à Touchter et des Bris)
On dirait que l’affaire est assez compliquée.
Si c’est un adultère et pas une trahison,
On risque dans les chaumières de leur donner raison.
Des Bris (à Gadafi)
Tu nous prends pour des burnes
Nous qui bourrons les urnes.
Cette histoire de cœur ne tient pas un quart d’heure
C’est un secret d’Etat que tu veux faucher là.
Gadafi
Nigaud et cancrelat, de secret il n’y a.
Mis à part celle que j’aime rien ne compte pour moi.
Ducal
Dans ces conditions là, il faut les démasquer.
Allons voir sur le tas où elle planque son secret
Et livrons aux médias l’espionne débusquée.
(Elle fait un signe de la tête à des Bris et Touchter qui approchent du sac en tenant en joue Gadafi et les Tigresses tout en tremblant. On entend à nouveau Cécilina.)
Cécilina (au coprince)
Tu entends comme moi qu’ils radinent leurs miches.
Le coprince
C’est le moment, je crois, de virer ta postiche.
(Le sac se met à bouger, des Bris et Touchter l’entourent suspicieux puis ils l’ouvrent.)
Ducal (à Cécilina)
Alors, la fière est dans le sac !
Schpountz (à Asma)
C’est de l’humour ric-rac,
Du genre rubrique-à-brac.
Asma (à Schpountz)
Gotlib dich !
Je vois ton appendice et,
J’avoue, je concupisce.
Schpountz
Il faudra qu’on attende la fin de cette histoire
Pour nous laisser aller à cette soudaine pulsion.
Cécilina (sortant du sac)
Et bien qu’est-ce que celà ?
Assemblée générale d’agités du bocal ?
Amateurs authentiques du pillage de l’Afrique ?
Diplomates qui se dilatent ? Comploteurs à toute heure ? Trafiquants à l’encan ?
C’est un piètre tableau, sans même un chevalet
Que ce tas de charlots dont chacun est très laid.
Gadafi
Mais enfin Carlotta d’où te vient cette hargne ?
Quand tu fus dans mes bras, ce n’était point le bagne.
Nous étions convenus que tu joues l’ingénue,
Assoiffée de vengeance, que je débarque en France
Et que tu fasses mine d’avoir eu la grosse guigne,
Que je te rapterai dans ta principauté
Et te ramènerai sur un tapis volant
Laissant ta sœur cassée et ton chanoine ballant.
Ducal (à part)
Carlotta ? Qui c’est-t-y celle là ?
Des Bris (à part)
Sœur cassée ? Où vont-ils la trouver ?
Touchter (à part)
Je sens comme du roussi dans cette étrange famille
Cécilina (à Gadafi)
Aurais-tu abusé de quelque narguilé ?
Je n’ai jamais été celle que tu croyais.
Gadadi
Ah, ça, cette histoire est truquée, pourtant j’ai vérifié !
(Il se jette sur Cécilina et lui baisse la tunique.)
Gadafi (reculant)
Par Allah tout puissant, ils m’ont fichu dedans !
(Aux autres)
Ce n’est pas son derrière tout y est à l’envers !
(Se retournant vers Cécilina, au même moment entrent dans la pièce les reporters Esprit et Perron avec une caméra vidéo, personne ne les remarque encore.)
Cocktail de virus, poupée russe de vices,
Je ne suis qu’un gugusse !
Ducal (à des Bris et Touchter)
C’est un message codé,
Il doit être collé.
(Elle se jette sur Cécilina et tente de lui arracher son grain de beauté, Cécilina crie.)
A ça vas-tu venir,
Livre-moi tes secrets !
Gadafi (à Ducal)
Tu cherches ton bonheur mais pas du bon côté !
Ducal (désignant les fesses de Cécilina)
C’est une bombe atomique qu’elle y a installé.
Gadafi (faisant la moue)
Pour en avoir testé, c’est bien exagéré.
(Les journalistes cherchent à se faire remarquer.)
Hmm … Hmm
Hmm… Hmm…
(Tous les autres se retournent lentement et découvrent la caméra, estomaqués)
Touchter
Coupez !
Perron
Trop tard c’est du direct !
Esprit
Les Français se délectent.
(La lumière tombe)