"Depuis le 22 septembre, le responsable du service de l’état civil à la Mairie du 20ème arrondissement est suspendu de ses fonctions.
A la suite d’un différent dans un cadre privé dans un café entre l’agent municipal et un militant connu d’une section socialiste du 20è, ce dernier utilise ses relations politiques pour obtenir le départ de l’employé de la Ville de Paris.
Le responsable du service d’état civil est soutenu par la majorité de ses collègues qui sont révoltés devant cette situation.
Mme Frédérique Calandra, Maire du 20ème arrondissement, a refusé un rendez vous demandé par le syndicat parisien Supap-FSU. Cette situation illustre donc la dégradation du climat social à la Ville de Paris et un curieux mélange des genres ou la politique se confond avec l’organisation du travail au sein de la mairie.
Déjà dans le 20è, en 1995 le Maire de l’époque, avait voulu faire partir trois assistantes sociales qui avait osé en tant que citoyenne signer une pétition contre la politique municipale dirigée par Jacques Chirac. A l’époque toutes les forces de gauche de l’opposition municipale, dont, sans nul doute, Mme Calandra.
Le syndicat Supap-FSU demande l’arrêt immédiat de cette situation de brimade qui lui coûte actuellement environ 700 euros par mois et le retour de cet agent municipal dans ces fonctions.
Le syndicat Supap-FSU en appelle aux élus municipaux et notamment au premier d’entre eux, Bertrand Delanoé, pour que cesse cette scandaleuse situation."
Attention camarades, Delanoë va bientôt vous faire en procès en harcèlement syndical !
A la suite d’un différent dans un cadre privé dans un café entre l’agent municipal et un militant connu d’une section socialiste du 20è, ce dernier utilise ses relations politiques pour obtenir le départ de l’employé de la Ville de Paris.
Le responsable du service d’état civil est soutenu par la majorité de ses collègues qui sont révoltés devant cette situation.
Mme Frédérique Calandra, Maire du 20ème arrondissement, a refusé un rendez vous demandé par le syndicat parisien Supap-FSU. Cette situation illustre donc la dégradation du climat social à la Ville de Paris et un curieux mélange des genres ou la politique se confond avec l’organisation du travail au sein de la mairie.
Déjà dans le 20è, en 1995 le Maire de l’époque, avait voulu faire partir trois assistantes sociales qui avait osé en tant que citoyenne signer une pétition contre la politique municipale dirigée par Jacques Chirac. A l’époque toutes les forces de gauche de l’opposition municipale, dont, sans nul doute, Mme Calandra.
Le syndicat Supap-FSU demande l’arrêt immédiat de cette situation de brimade qui lui coûte actuellement environ 700 euros par mois et le retour de cet agent municipal dans ces fonctions.
Le syndicat Supap-FSU en appelle aux élus municipaux et notamment au premier d’entre eux, Bertrand Delanoé, pour que cesse cette scandaleuse situation."
Attention camarades, Delanoë va bientôt vous faire en procès en harcèlement syndical !