D'abord, le coût de cette gratuité en termes de financement compensatoire par l'impôt est énorme : on se situerait à plusieurs milliards d'euros. Il faudrait quasiment doubler le produit des impôts fonciers, professionnels et d'habitation.
Ensuite, la Région IDF et le Stif sont également compétents en ce domaine et il est naturellement hors de question pour eux d'accepter une gratuité qui ne vaudrait que dans Paris intra muros.
Enfin, ce qui fait le plus obstacle au développement des transports en commun ce n'est certainement pas le prix du pass Navigo mais bien davantage l'état déplorable des équipements. Or, la perte de recettes limiterait forcément les capacités d'investissement des opérateurs publics.
Bref, une nouvelle fuite en avant qui sent la déroute électorale qui s'annonce.
Où s'arrêtera-t-elle ?
Ensuite, la Région IDF et le Stif sont également compétents en ce domaine et il est naturellement hors de question pour eux d'accepter une gratuité qui ne vaudrait que dans Paris intra muros.
Enfin, ce qui fait le plus obstacle au développement des transports en commun ce n'est certainement pas le prix du pass Navigo mais bien davantage l'état déplorable des équipements. Or, la perte de recettes limiterait forcément les capacités d'investissement des opérateurs publics.
Bref, une nouvelle fuite en avant qui sent la déroute électorale qui s'annonce.
Où s'arrêtera-t-elle ?